© Alberto
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Paris des mauvais jours
--> Les traces de mes pas dans la capitale
Sur ma guitare tout contre moi
Je me sépare des tracas
Des mauvais jours (bis)
C’est comme un voile qui se déchire
Sur une étoile qui chavire
En pleine nuit (bis)
Sans larme
Sans une âme
Sans un brin d’amour
Paris flonflon tu te souviens
C’était le temps où les refrains
Couraient les rues (bis)
Paris jupon Paris de mai
Quand les amants se retrouvaient
Aux coins des rues
Des rues perdues
A l’heure
Où ils pleurent
Leur bonheur déchu
Paris mendiant Paris la belle
Passe le pont des ritournelles
Et ne dis rien (bis)
L’eau de la Seine a emporté
Les rimes anciennes que disait
L’accordéon (bis)
Du pauvre
Ah si pauvre
Qu’on n’sait plus son nom
Paris j’ai vu un oiseau mort
Au coin d’une rue où l’on s’endort
Quand on est seul (bis)
Seul avec toi à supporter
Les mille étoiles argentées
Des folles nuits (bis)
Qui versent
La tendresse
Dans les coeurs finis
Paris plus gris de jour en jour
Où chaque nuit s’en va l’amour
Un peu plus loin (bis)
Paris maudit Paris dis-moi
Dans quel pays me mènera
Mes lendemains (bis)
Qui coulent
Qui me saoulent
Qui me font du bien
Je reste là à regarder
Un ciel si bas qu’il en pourrait
Même pleurer
Même pleurer
Autant de larmes que ces gens
Qui se désarment quand le temps
Vient se montrer (bis)
Aride
Une ride
Sur un front usé
Paris la foule de tous les jours
Tu te déroules et tu laboures
Un champ inculte (bis)
Tandis que moi je vais je viens
Je ne sais pas vers quels chemins
S’en va ma vie (bis)
Loin d’elle
Loin de celle
Qui pleure sans bruit
©Guy Marchal (archives)
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