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Il a fallu qu’un jour Dieu fasse l’homme !

“Cherchez et vous trouverez, frappez et l’on vous ouvrira”
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Jeudi (11/12/14)
Le choc fatal
--> Il y a un peu plus de 100 ans, le légendaire Titanic faisait naufrage !


Le luxueux navire de croisière Costa Concordia se couche, le flanc déchiré par un rocher. Il fait nuit, des passagers cherchent désespérément une place dans les canots de sauvetage. On dénombre les premiers morts, nombreux sont les disparus. Nul n'aurait pensé qu'un tel navire pouvait faire naufrage ! La plupart des survivants sont encore en état de choc et font la même déclaration : "Nous avons tout de suite pensé au Titanic !"

L'histoire d'une tragédie

Le 14 avril 1912 restera à jamais une date mémorable dans les annales de la navigation maritime et dans l’histoire de l’humanité. Ce jour-là, après avoir heurté un iceberg, le Titanic sombrait en 2 heures et 40 minutes au large des côtes de Terre-Neuve. Des scènes inouïes se déroulèrent alors à bord du luxueux navire.

Les dernières heures du Titanic

Pas moins de six alertes à l’iceberg étaient parvenues à l’officier John Philips au cours de la journée du 13 avril. Mais ce dernier, trop occupé à répondre à des télégrammes de félicitations, n’y avait guère prêté attention. Excédé par la fréquence de ces avertissements, il avait même renvoyé au "California" tout proche ce message agacé : "Shut up" (Taisez-vous !).

De ce fait, l’officier de service sur le "California"avait quitté sa station radio, et n’avait donc pu entendre les appels au secours qui lui parvenaient un peu plus tard. A une vitesse inchangée, le Titanic se dirigeait tout droit vers son destin. Plusieurs heures plus tard, alors qu’il voyait la mort en face, John Philips regrettait sa négligence et s’écriait : "O Dieu, pardonne-moi ! Pardonne-moi !" A 23h40, le flanc avant du navire entra en collision avec un iceberg. La paroi du navire fut éventrée à plusieurs endroits et l’eau commença à s‘engouffrer à l’intérieur. Après inspection, on jugea que le Titanic se maintiendrait à la surface environ 2 heures. A 0h10 le capitaine Smith donna l’ordre de mettre à l’eau les canots de sauvetage, mais, leur nombre était largement insuffisant. Beaucoup de passagers refusèrent d’y prendre place, bien trop sûrs sur le paquebot. Le capitaine fit alors évacuer une partie des membres de l’équipage. A défaut de fusées de détresse, on tira un feu d’artifice qui fut admiré par les passagers d’un navire qui passait non loin de là.

A 1h25 la panique s’installa. A 1h45 le Titanic émit son dernier message. Vers 2h20 il se rompit en trois parties. L’avant et la partie centrale coulèrent aussitôt. Le pont arrière retomba sur l’eau avant de sombrer à son tour lentement. Et c’est ainsi que "l’insubmersible" Titanic entraîna dans la mort les 1500 passagers restés à bord.

Des scènes de panique

D’incroyables scènes de panique se jouèrent dans les flots glacés. L’un des survivants, le Commandant Archibald Gracie dira plus tard : "Les appels au secours désespérés des mourants résonnent encore aujourd’hui à mes oreilles et tant que je vivrai, je ne les oublierai pas." Quand le Titanic sombra, John Harper, un chrétien convaincu, luttait lui aussi avec la mort. Il ne la craignait pas pour lui-même, mais quand il aperçut une silhouette cramponnée à une planche et se débattant dans les flots, il lui cria de toutes ses forces : "Es-tu sauvé ?" "Non !" répondit l’homme. Et Harper lui lança : "Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé !" Mais avant que l’homme ne pût répondre, il fut emporté par le courant. Comme par miracle, le même courant le ramena aux côtés d’Harper quelques instants plus tard. A nouveau, Harper, agonisant, l’interpella : "Es-tu sauvé ?" Encore la même réponse: "Non !" Rassemblant ses dernières forces, Harper répéta une ultime fois : "Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé". Le naufragé put être secouru et survécut. Il déclara plus tard être "le dernier converti" d’Harper. Dans les flots glacés, il avait pris au sérieux son exhortation, se consacrant à Jésus-Christ corps et âme pour la vie et la mort. Au cours de cette terrible nuit, il avait trouvé le salut pour son corps et son âme.
 
Quand la panique s’installa, l’orchestre joua quelques morceaux de musique pour tenter de calmer les passagers. L’effet fut de courte durée, et quand toute lueur d’espoir se fut évanouie, le chef d’orchestre fit jouer cet ancien cantique : "Mon Dieu, plus près de toi, plus près de toi".

Arriverons-nous à bon port ?

La tragédie du Titanic nous incite à réfléchir à notre propre sort et à ce qui compte le plus à la fin d’une vie. Ce navire considéré comme insubmersible faisait la fierté de toute une nation. Sa fin tragique nous rappelle la fragilité de ce qui est terrestre et la mort inéluctable qui s’en suit. Nous nous trouvons tous d’une certaine manière embarqués sur un Titanic. Au siège de la White Star Compagny à Liverpool, les passagers embarqués avaient été répartis en trois catégories : celle de la haute société, celle de la classe moyenne et la 3ème classe constituée de gens du peuple. Après le naufrage, deux grands tableaux révélaient des noms répartis sous deux catégories seulement : celle des survivants et celle des perdus en mer.
 
Dieu considère chacun de nous, quels que soient nos forces et nos faiblesses, sous ces deux seuls angles : sauvé ou perdu. Son salut nous est proposé, le saisirons-nous ? John Harper avait choisi et saisi la main que Dieu nous tend.
 
Jésus-Christ est venu dans ce monde pour nous sauver. Le Fils de Dieu a tout accompli en mourant sur la croix pour nous et en ressuscitant d’entre les morts. A nous d’accepter ce salut.

Dans la Bible il est écrit : "Quiconque invoquera le nom du Seigneur Jésus-Christ sera sauvé (réconcilié avec Dieu)". (Romains 10.13)
A l’exemple de John Harper nous aimerions vous demander : Etes-vous sauvé(e) ? Savez-vous où vous mènera votre dernier voyage ? N’attendez pas qu’un malheur vous frappe pour y songer. N’attendez pas d’être très âgé. Et si vous l’êtes déjà, rien n’est plus urgent que de vous réconcilier avec Dieu.

Vous pourrez vivre une nouvelle relation avec Dieu. Jésus vous offre le pardon de vos péchés, la paix avec Dieu et la vie éternelle.

Si la lecture de ce récit a suscité en vous des questions, vous pouvez nous écrire. Avant tout, lisez la Bible pour mieux connaître Jésus-Christ et grandir dans la foi en lui. Que Dieu vous bénisse !

Werner Schlittenhardt, Alexander Seibel

© Média Espérance http://www.media-esperance.org/


Ecrit par alberto, a 11:06 dans la rubrique Vécu.
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Mercredi (20/08/08)
Il m'a regardé bien dans les yeux et il m'a dit :
--> témoignage
à Teddy bear, l'ami athée

« Je suis devenu un enfant de Dieu(1) depuis que j'ai compris que j'étais un pécheur et que j'avais besoin d'un Sauveur. Avant d'être sauvé, j'étais perdu et je ne le savais pas. Je ne savais pas que j'allais en enfer. Je pensais que j'étais un homme bien. J'avais un bon travail (j'étais professeur d'université en psychologie) et je m'imaginais que la vie était toute tracée, avec ma femme, et mes enfants. J'étais jeune, j'avais tout ce qu'il fallait pour réussir dans la vie : une bonne profession, une belle femme qui m'aimait et que j'aimais, des beaux enfants.
Mais j'avais énormément peur de la mort et je me disais : "Mais après la mort, qu'est-ce qu'il y a ? Est-ce qu'il n'y a rien ? Est-ce qu'il y a un jugement ? Est-ce qu'il y a un enfer ou pas ?" Et comme je n'avais pas de réponse, j'avais mis cela au placard et j'attendais de vieillir, je me disais : "Tu auras toujours le temps d'y penser, en attendant, réussis ta vie, profites-en." Et un jour cela a commencé par la mort d'un de nos enfants. Une de nos filles est morte brutalement par accident, et là il s'est passé quelque chose. Non pas que Dieu cherche toujours à nous atteindre par des tragédies ou des choses de ce genre. Il y a beaucoup de chrétiens qui se convertissent simplement parce qu'ils ont le cœur touché. Mais mon cœur était dur et il fallait que quelque chose se brise. Et là, il a commencé à se briser. Et c'est à cette occasion-là que Dieu est entré dans notre vie à tous les deux, ma femme et moi.
Un collègue de l'université a eu l'occasion de nous donner un témoignage, et cela s'est passé le jour de l'enterrement, en plein cimetière. Son témoignage était très court, il s'est approché de moi, il m'a regardé bien dans les yeux et il m'a dit : "Henri, Dieu existe et Jésus-Christ est vivant." Voilà la prédication. Cela suffit. Ce n'est pas la peine de faire des grandes prédications. "Dieu existe, Jésus-Christ est vivant !" Quand on a compris cela, on en tire des conclusions... »

Si vous voulez lire la suite, c’est ici. Je précise toutefois que ce texte s’adresse aux chrétiens plus qu’aux non-chrétiens, mais c’est justement pour ces derniers que j’avais trouvé le début intéressant.

(1) rien à voir avec l’appartenance à la secte "Les enfants de Dieu". Il faut faire attention avec les rapprochements qui peuvent se faire dans notre esprit lorsqu’on lit certains mots ou certaines expressions et qui produisent un effet négatif ou carrément un rejet, c’est pourquoi il est fortement recommandé de se défaire des clichés et idées reçues afin de pouvoir examiner les choses simplement et avec intelligence.

L'ami Teddy nous a quitté dernièrement (en 2013)
Ecrit par alberto, a 09:51 dans la rubrique Vécu.
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Mardi (29/07/08)
Dieu, c'est la dernière fois que je te prie !
--> témoignage

Il y a des rencontres qui marquent la vie à tout jamais. Celle de Claire avec le Christ, il y a plus de 40 ans, est de celles-là. C'était dans la neige...


Je suis mariée, mère de deux filles adultes et grand-mère. J'ai bientôt 60 ans. Mes parents n'ont jamais pratiqué. Mais comme j'avais un oncle prêtre, il m'avait incité à suivre le catéchisme et j'ai été longtemps Guide de France. Puis, j'ai tout laissé tomber.
La lectures des livres de Michel Quoist, surtout "Prières", a été un 1er déclencheur de recherche de Dieu. A 15 ans, je me souviens m'être mise à la fenêter et avoir regardé les étoiles et le ciel en disant : "Dieu si le Jésus dont parle Michel Quoist existe, alors j'aimerais bien le rencontrer".

La prière de l'athée
A 18 ans je cherchais Dieu partout, y compris dans la religion Bahaï que mon frère pratiquait. je le cherchais partout en fait. je rentrais aussi dans les églises pour faire ma prière de l'athée : "Ô Dieu si tu existes, révèle-toi à moi".
Un jour, je rencontre par "hasard" des chrétiens évangéliques qui organisent une réunion dans la rue. Ils me donnent une Bible, je commence à suivre leurs réunions et les suis même pendant 9 mois.
Le 18 février 1967, je séjourne avec mon père et un de mes frères à Orcières Merlette, une station de ski dans les Alpes. Vers 23 heures, alors que nous jouons à un jeu de société, je sens une force très puissante qui m'attire dehors. Je m'excuse et je leur dis : "Je sors". Je m'habille chaudement car il y a un mètre de neige. Je monte directement dans la montagne, il y a une trace de pas que je suis, mais je ne sais où je vais. Il fait nuit.

De surprise en surprise
Subitement, en face de moi, je vois une immense croix, adossée contre une petite chapelle. À mon habitude je veux entrer dans cette chapelle pour y faire ma prière de l'athée mais la chapelle est fermée. Zut ! Quel dommage ! Alors je me dis "Bon eh bien, je vais aller devant la croix". Je me mets à genoux devant cette croix (dans un mètre de neige !) et je dis : "C'est la dernière fois que je te prie, cela fait neuf mois que je prie sans que Dieu me réponde. C'est un ultimatum, si tu existes, réponds moi, et si tu n'existes pas, c'est bien dommage..."
Craignant de me tromper de Dieu, j'énumère tous ceux que je connais : Allah, Krishnan, Bouddha, etc.
C'est en disant "Christ" que je sens que là il y a quelqu'un qui écoute, qui est là. Alors je dis : "Christ, je te donne ma vie, réponds moi". Toujours pas de réponse. Alors je "lâche prise" et je dis cette phrase : "Dieu, je n'en peux plus, je te laisse faire. Je dois rentrer, ils vont s'inquiéter". Je me relève, désespérée, ayant abandonné la lutte, pensant qu'il n'existe aucun Dieu dans cet univers.
Alors que je redescends vers l'hôtel, une vague extraordinaire de paix m'envahit. Je sais que j'ai dit ce que je devais dire, mais je ne sais pas encore que j'ai rencontré Dieu.
Le lendemain dans ma chambre, mon père (à l'époque athée) prend une photo de moi. Est-ce parce que je rayonne de la présence de Dieu ? Il me dit en tout cas : "Je ne sais pas ce que tu as ce matin, tu es très belle". Je pense bien que c'est la seule fois de ma vie que mon père m'a prise en photo dans une chambre d'hôtel ! Il devait y avoir une lumière très spéciale sur mon visage.
Toute la journée je reste dans le silence, comme écrasée par ma rencontre. Pour une personne extravertie comme moi, il en faut beaucoup pour que je me taise !
Plusieurs jours après, je retrouve les chrétiens qui m'ont donné une Bible neuf mois plus tôt. Ils chantent : "Nous avons découvert la joie de vivre et de chanter, nous avons rencontré le Seigneur".
J'ai enfin la révélation en chantant avec eux que celui que j'ai rencontré dans la montagne c'est bien Dieu, le Dieu de Jésus-Christ. Je comprends que la paix qui m'habite désormais, c'est sa présence en moi.

Et la suite ?
C'était en 1967, et durant ces 41 ans, le Christ rencontré dans la neige à 18 ans m'a toujours entourée de son amour.
Dieu m'a attirée à 23 heures dans ce mètre de neige, m'a conduite dans la montagne vers cette croix alors que je n'y voyais pas à deux mètres dans le noir. Il m'a permis aussi que la porte de la chapelle soit fermée, ce qui avait une grande signification pour moi ! En effet ce n'était pas une religion, quelle qu'elle soit, qui pouvait me répondre, mais le Dieu vivant.
Voila la suite de l'histoire : je suis revenue par la suite à Orcières Merlette, mais la chapelle... avait été transformée en boîte de nuit ! Ce fut une grosse déception bien sûr, mais Dieu, lui, existe toujours ! Par contre, j'ai écrit ce témoignage et l'ai envoyé au curé du village. Il m'a répondu sa joie de savoir que j'avais trouvé Dieu à Orcières et m'a dit que ma lettre figurait désormais dans le livre d'or de la station.
"Merci Seigneur Jésus, tu es mon Dieu pour l'éternité ! Merci de m'avoir sauvée !"
Mon père et ma mère ont tous les deux trouvés le Seigneur peu de temps avant de mourir... Que Dieu soit béni, il a exaucé mes prières pour eux.
Claire Poujol

Visitez les sites de Claire Poujol et de son mari Jacques Poujol, Psychothérapeute, Relation d'aide :
http://www.relation-aide.com/
http://www.psycho-ressources.com/jacques-poujol.html

http://membres.lycos.fr/jpoujol/index.html


Ecrit par alberto, a 12:28 dans la rubrique Vécu.
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