Je crois que les Français, les Allemands, et la plupart des peuples européens, se rendent compte de la situation actuelle. Ils se sentent pris comme dans un étau et plus ils s’informent en-dehors des médias traditionnels, plus ils avancent dans la vérité et prennent conscience qu'on les berne, qu’on leur ment, qu'on les prend même pour des demeurés. Ils voient un piège s'abattre sur eux, sur tout le pays, sur l’Europe, et sur le monde entier.
La peur est entretenue subtilement (il faut le reconnaître), car les hommes politiques sont habiles pour utiliser les circonstances (et ils ne s’en privent pas). Eux dont le dessein est de vouloir à tout prix régner sur les peuples, ne demanderont jamais l’avis des citoyens ! Un tel manque de scrupule n'appartient pas à Celui qui est la source de la vie ! Mais, hélas, l’ignorance de Dieu et le rejet du Christ par la plupart des peuples, ne facilitent pas la tâche de Celui qui a tant aimé le monde au point d'avoir envoyé son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle (Jean 3.16).
Inévitablement, ici et là, des contre-pouvoirs s'organisent, des rassemblements... Qui voit d'un bon oeil se profiler une dictature en plus d’une uniformisation islamique dans tout le pays ? C'est à-dire la fin du christianisme, la fin d’une douce France, d'une douce Allemagne aussi, de ses paysages, la fin des clochers de notre enfance... Comment nos hommes politiques en qui le peuple a donné sa confiance, peuvent-ils nous détourner de nos voies sacrées ? Même en mauvais chrétiens, voire athées, n'avons-nous pas malgré tout porté en nous l'héritage culturel de nos pères avec la croix du Christ, sa rédemption ? Certes, nous avons porté ce message maladroitement, mais nous l'avons porté quand même dans notre culture. Dans notre tête sûrement, mais sans doute pas assez dans notre coeur, la laïcité aidant. Maintenant, les murs du christianisme ne résistent plus face à une islamisation menaçante. Cela, beaucoup le comprennent et n'osent pas le dire, parce que le dire peut entraîner des suites fâcheuses.
Qui connaît Dieu, connaît aussi son adversaire ! Qui connaît Dieu sait très bien ce qui se passe dans le monde invisible, d'un côté ou de l'autre. Ainsi, l’idéal, ne serait-ce pas que tout être humain soit informé au sujet des puissances spirituelles agissantes, afin que chacun puisse choisir son camp ? Un individu sagement informé choisit évidemment de se mettre du côté des vainqueurs et certainement pas du côté des vaincus ! Hélas, un peuple ayant choisi de rejeter le Christ ne peut connaître Dieu ! Ce constat tragique, Dieu l’a fait depuis longtemps déjà : "Mon peuple est détruit, parce qu'il lui manque la connaissance“ (Osée 4.6).
Ainsi, le côté des vaincus est bibliquement clarifié et défini par le manque de la connaissance de Dieu engendrant l'incrédulité. En revanche, la connaissance de Dieu apporte la foi en Christ qui permet de se mettre de son côté et de bénéficier de sa pleine victoire sur les ténèbres. Les ténèbres représentent tout ce qui est l'adversaire de Dieu – de Dieu qui est lumière : "La nouvelle que nous avons apprise de lui, et que nous vous annonçons, c'est que Dieu est lumière, et qu'il n'y a point en lui de ténèbres“ (1 Jean 1.5). Et Jésus a dit : "Je suis la lumière du monde ; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie“ (Jean 8.12). Avec cette simple connaissance ajoutée à notre foi, vous voyez comme il est facile de se ranger du côté de Jésus-Christ, du côté des vainqueurs ! La Bible souligne la victoire éclatante de Christ à la croix du Calvaire contre l’adversaire (le diable) : "Il (Jésus) a effacé l'acte dont les ordonnances nous condamnaient et qui subsistait contre nous, et il l'a détruit en le clouant à la croix ; il a dépouillé les dominations et les autorités, et les a livrées publiquement en spectacle, en triomphant d'elles par la croix.“ (Colossiens 2.14-15).
Quiconque ne se réclame pas de Jésus porte en lui la défaite. Un christianisme ne se réclamant pas de Jésus est vaincu d'avance. En revanche, un christianisme se réclamant de Jésus par la foi en Christ serait plus que vainqueur contre toute religion, quelle qu'elle soit !
Dieu a parlé depuis longtemps déjà, donnant à tout peuple la possibilité de s’en sortir, mais si le peuple n’y prend pas garde, il n’y a plus rien à faire ! En l’absence du Dieu vivant, c’est toujours le malin qui triomphe !". Cependant, la promesse de Dieu demeure encore, et il y a urgence de la rappeler : "Si mon peuple sur qui est invoqué mon nom s'humilie, prie, et cherche ma face, et s'il se détourne de ses mauvaises voies, je l'exaucerai des cieux, je lui pardonnerai son péché, et je guérirai son pays“ (2 Chroniques 7.14).
À défaut que des peuples se convertissent (à moins d'un miracle), ce sont les individus qui sont appelés personnellement à sortir de leur situation sans avenir, afin d'être mis à part pour bénéficier de la grâce merveilleuse qui est en Christ. Si quelqu’un entend le message de l’Evangile et croit que Jésus a porté ses péchés sur la croix, il est sauvé et se trouve déjà transporté du côté des vainqueurs. Parce que Jésus-christ a vaincu la mort ! Il est est ressuscité ! "Après avoir offert un seul sacrifice pour les péchés, Christ s'est assis pour toujours à la droite de Dieu“ (Hébreux 10.12). Que vienne une pandémie, une invasion, une guerre, une attaque, une nouvelle religion, un quelconque désastre, ils seront protégés du malin et de la colère divine. "Que mille tombent à ton côté, et dix mille à ta droite, tu ne seras pas atteint“ (Psaumes 91.7).
Je termine par la prière de l'apôtre Paul, qui nous conseille d'être ses imitateurs, lui-même étant l'imitateur de Christ : "Je ne cesse de rendre grâces pour vous, faisant mention de vous dans mes prières, afin que le Dieu de notre Seigneur Jésus Christ, le Père de gloire, vous donne un esprit de sagesse et de révélation, dans sa connaissance, et qu'il illumine les yeux de votre coeur, pour que vous sachiez quelle est l'espérance qui s'attache à son appel, quelle est la richesse de la gloire de son héritage qu'il réserve aux saints, et quelle est envers nous qui croyons l'infinie grandeur de sa puissance, se manifestant avec efficacité par la vertu de sa force. Il l'a déployée en Christ, en le ressuscitant des morts, et en le faisant asseoir à sa droite dans les lieux célestes, au-dessus de toute domination, de toute autorité, de toute puissance, de toute dignité, et de tout nom qui se peut nommer, non seulement dans le siècle présent, mais encore dans le siècle à venir. Il a tout mis sous ses pieds, et il l'a donné pour chef suprême à l'Église, qui est son corps, la plénitude de celui qui remplit tout en tous.“ (Ephésiens 1.16-23).
