© Alberto
© Photos et textes. Tous droits réservés.
Nous ne devons pas perdre le contact
Nous ne devons pas perdre le contact. Nous ne devons pas perdre le contact avec les membres de notre famille, dont certains membres sont éloignés et que nous n’avons pas vu depuis longtemps. Nous ne devons pas perdre contact avec nos amis, nos connaissances. Les retombées de la pandémie (confinement, mesures sanitaires drastiques) sont en train de détruire beaucoup de choses dans la vie des gens et paralysent nos relations.
Pourquoi cet acharnement de mesures sanitaires visant à détruire les petits commerçants ainsi que diverses professions, au profit des grandes surfaces ?
Pourquoi cette oppression des pouvoirs politiques dans la gestion (chaotique) d’une pandémie qui finalement soulève bien des questions, n'en déplaise aux dirigeants ?
À propos, qui se souvient des petites phrases lâchées ici et là par nos anciens Présidents ? Tout le monde devrait avoir en tête la fameuse citation d'un discours de l'ancien Président Sarkozy : "On ira ensemble vers ce nouvel ordre mondial et personne, je dis bien personne, ne pourra s'y opposer". Qu'est-ce que ce genre de discours peut bien couver ? N'y a-t-il pas anguille sous roche ? Réécoutez ce discours ici : https://youtu.be/xQeyvwIDLUw
Nous sommes en voie de penser qu'il y a effectivement un grand chambardement sur la planète. Il est impossible de penser la chose sans la hiérarchie pyramidale. Dans une pyramide, il y a une grande base, et tous les étages de cette pyramide diminuent en s'élevant vers le sommet. Ce qui fait que la connaissance d'un étage inférieur n'a pas la connaissance de l'étage supérieur. Dans cette hiérarchie, plus on s'élève, plus le nombre de personnes diminue. Au sommet il n'y a plus qu'une personne. Qu'a voulu montrer l'actuel Président au monde le jour de son élection dans un cadrage précis avec la pyramide du Louvre en arrière plan ? Et lorsque l'ancien Président Mitterand a fait construire cette pyramide, qu'a-t-il pensé en faisant ce choix symbolique ?
Le cerveau de l'homme a bien des secrets, mais le coeur de l'homme a certainement des abîmes ! Cela en devient effrayant avec le temps qui passe alors que devant nos yeux se révèle de plus en plus de quoi sont capables ceux qui nous dirigent. Je vous assure qu'à l'âge de trente ans, je m'en suis rendu compte et j'ai perdu tout espoir en la nature humaine. Je pense que l'humanité entière va faire cette expérience. Comme moi, un jour, elle criera de désespoir, et comme moi, un jour, elle verra Dieu se révéler. Mais Dieu ne se révélera pas à tous, il se révélera seulement à ceux qui, comme moi et beaucoup d'autres, aiment la vérité et la recherchent de tout leur coeur. Dieu ne se révélera pas à ceux qui aiment le mensonge. Voilà qui est clair.
La vérité veut unir, tandis que le mensonge divise. Regardez, n'y a-t-il pas que divisions partout ? Quel effet a cette pandémie ? Grands-parents, parents, enfants, sont soumis à la séparation. Comment les dirigeants peuvent-ils encore dormir sur leurs deux oreilles ?
Bref, chaque année nous pousse à un drôle de réveil. Bientôt les gens vont se demander à quoi ça sert de vivre ! L'être a besoin de bonheur, de joie, de contemplation, d'espoir, d'espérance ! Dieu le sait et il a toutes ces bonnes choses en réserve. Mais l'homme n'est pas décidé à se tourner vers lui, il veut régler à lui seul tous les problèmes du monde. Dieu en souffre et l'on peut imaginer que dans sa souveraineté, pour obliger sa créature à se tourner vers lui, il permet parfois à Satan d'envoyer certaines calamités. Ce ne sont pas encore les véritables fléaux de son jugement qui arriveront plus tard au jour de sa colère, car nous n'en somma pas encore là : l'Eglise n'a pas encore été enlevée de la terre avec le Saint-Esprit. De ce point de vue des signes de la fin, nous en sommes à l'apostasie qui est actuellement partout dans les églises. Le prochain signe, celui qui précéde le jugement, nous dit la Bible, c'est l'apparition de l'impie, l'homme de péché, l'Antéchrist, l'homme tout seul au sommet de la pyramide.
En fait, c'est ce que dit en substance le discours cité plus haut de l'ancien Président Sarkozy. Apocalypse 13 nous parle d'abord d'une bête qui sort de la mer et puis ensuite d'une bête qui sort de la terre (Apocalypse 13.1 et 11). Dans les lieux invisibles, la bête qui sort de la mer est active (complot contre l'Éternel et contre son oint, Psaumes 2.1), tandis que la bête qui sort de la terre se prépare (l'antéchrist).
Dans ces conditions, en vue de ce qui va arriver, nous ne devons pas perdre le contact avec le Seigneur Jésus-Christ. "Il n'y a de salut en aucun autre ; car il n'y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés" (Actes 4.12). C'est lui qui m'a répondu dans mon désespoir. J'ai crié : "Au secours ! Mon Dieu !" Et dans mon âme il m'a répondu : "Je suis là". Esaïe, le prophète de l'Ancien Testament, s'écriait déjà : "Oh ! si tu déchirais les cieux, et si tu descendais, Les montagnes s'ébranleraient devant toi" (Esaie 64.1). Jésus a accompli cette prophétie, il est venu parmi nous. Après son oeuvre rédemptrice, il est retourné au ciel où il siège à la droite de Dieu et où il répond à tous les cris des hommes. Dieu déchire le ciel pour répondre à celui, celle, qui crie à lui, et il lui donne une réponse que l'âme ne peut expliquer mais qui est réelle : "Je suis là ! Je t'aime! je te tire de là ! N'aie pas peur !" Assurément, comme pour moi, il le fera pour vous : "Il étendit sa main d'en haut, il me saisit, il me retira des grandes eaux" (2 Samuel 22.17).
Repondre a cet article
Version
XML
- Cette page est peut-être encore
valide XHTML1.1 et CSS sans tableaux.
