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Il a fallu qu’un jour Dieu fasse l’homme !

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Le temps du pardon de Dieu ne durera pas indéfiniment
Après un an de pandémie, il ne restera bientôt qu'une image dans les mémoires, celle d'une aiguille à seringue qui pique le bras. Tous les médias s'entendent pour publier quotidiennement cette image. Bien triste image d'une société perdue, égarée, parvenue loin, loin, loin de la vérité. La vérité, qui était autrefois simplement de sentir la bonne terre sous ses pieds, dans un village, un bourg, qui sentait bon les saisons, où l'eau des ruisseaux coulait vers la vallée, où la source jaillissait aux fontaines des villages, où l'on y buvait pour apaiser sa soif.

Le temps a passé. Reviendra-t-il ce monde ? La réponse est différente pour l'un et pour l'autre. Pour toi qui a passé avec le temps et qui a vieilli, la réponse est non. Il ne te reste plus qu'à rechercher, si tu ne l'as pas déjà, l'espérance qui est en Christ, et qui nous réserve un monde céleste infiniment plus beau que le monde terrestre actuel. Mais quelle réponse donneras-tu à ces petits qui viennent et qui sont en devenir ? Un enfant qui naît a besoin d'un avenir et d'une espérance. D'ailleurs, une pensée me fait mal, celle des nouveaux-nés si beaux et offerts déjà à l'aiguille des vaccins. Comme si l'avenir de l'être se trouvait dans les vaccins !

Il y a tellement de choses établies quand vous venez au monde ! Mais le propre de l'homme n'est-il pas de se remettre en question ? Il s'agit là d'une liberté dont il serait bête de se priver. La liberté de penser appartient à tous, et surtout la liberté d'asseoir sa pensée sur la base la plus plausible, la plus stable, et la plus vraie possible.

Si la société va à vau-l'eau emportée par son courant, c'est qu'elle est emportée par le courant de ses pensées. Lesquelles pensées précèdent les actes de la vie quotidienne dont les conséquences en dépendent. Si mes pensées sont mauvaises, elles engendreront des conséquences mauvaises. Si mes pensées sont bonnes, elles engendreront des conséquences qui ne seront pas mauvaises, mais bonnes. C'est ce qui s'appelle : naviguer entre la malédiction et la bénédiction.

"Malédiction" et "bénédiction" sont des termes à caractère spirituel, hélas bannis de la société. Les choses du ciel n'intéressent plus la société humaine. Il n'y a que la terre qui les intéresse (et la planète Mars). Obnubilés par les lobbies du moment, les gens ne voient rien d'autre de ce qu'on leur rebat les oreilles à longueur d'année. Discussions interminables dont ils en font les frais. Et pour quelle espérance, je me le demande…

Il n'y a pas d'espérance terrestre ! Qu'est-ce que la terre ? Une petite boule de rien du tout perdue dans l'univers immense, immense ! La vraie espérance ne dépend que du ciel ! Mais l'homme n'y entend rien ! Il ne voit que la terre. Qu'il mette tout en oeuvre pour la gérer, cela se comprend, c'est aussi ce à quoi il est appelé ! En revanche, vouloir la sauver à lui tout seul, là, l'égarement est total. Il n'y a même pas besoin d'explication.

Quand un homme n'a pas de but, pas d'objectif et pas d'espérance, il n'imagine pas s'être trompé de chemin. Il erre. C'est cela l'égarement. Certains y prennent plaisir. Ils flânent même toute leur vie. Chercher le bon côté des choses. Refuser toute contrainte, toute souffrance. Heureusement que le grain de blé n'a pas ce caractère, sinon nous n'aurions jamais de pain ! C'est dans un sol gelé, dur, que le grain de blé passe l'hiver avant de pousser au printemps avec une vigueur extraordinaire. Ici, Jésus entre en scène. Ecoutons-le : "En vérité, en vérité, je vous le dis, si le grain de blé qui est tombé en terre ne meurt, il reste seul ; mais, s'il meurt, il porte beaucoup de fruit" (Jean 12.24).

Le malheur des hommes, c'est qu'ils ne laissent pas Jésus entrer en scène dans leur vie. Ce malheur s'est multiplié sur la terre au point que dans sa globalité, le monde a rejeté le Christ Jésus, celui qui est venu du ciel jusqu'à nous il y a quelque deux mille ans. Nous en subissons actuellement les lourdes conséquences, en ces temps que nous vivons. Les conséquences de ce rejet relèvent de la malédiction et non de la bénédiction. Non, l'homme sans Dieu, victime du mensonge, ne pourra jamais de lui-même sauver la terre. D'ailleurs, dans le secret, ceux qui veulent la détruire s'y activent plus que jamais. Simplement, ils font croire que leur seule ambition est de la sauver. Les hommes croient au mensonge. En réalité, pour que la terre soit sauvée, il faudra que Dieu intervienne. Ce sera l'accomplissement solennel de la Parole écrite dans la Bible : "Le temps est venu de juger et de détruire ceux qui détruisent la terre" (Ap 11.18). La société entière des hommes se retrouve aujourd’hui dans un état inconscient face à la nécessité de sauver son âme. Et le souci de Dieu est de retarder autant qu'il le peut l'échéance fatale afin de donner à tous du temps pour se repentir et croire en Jésus-Christ. Mais viendra le moment où les moeurs auront tellement viré à l'extrême, que Dieu sera obligé d'intervenir, comme du temps de Noé et de Lot.

C'est avec tristesse que Jésus avait déjà abordé avec ses disciples la question de la foi. Il s'était demandé s'il allait trouver la foi sur terre à son retour (Luc 18. 8 ). On ressent qu'il a le coeur gros. Il y a de quoi ! Aujourd'hui, si vous parlez de Jésus aux gens, ils vous rient au nez ! Quelques uns, quand même écoutent et réfléchissent. Oui, Dieu existe ! Il est présent sur son trône dans le ciel. Il règne sur l'univers qu'il a créé ! Comment en serait-il autrement ? Quel Dieu aurait abandonné ses créatures au petit bonheur la chance ? Certainement pas le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob ! Tout au long de l'Histoire, il a agit. Il est là, dans le secret et veille à l'accomplissement de sa Parole qu'il nous a transmise sous son inspiration par le moyen de la Bible. Enfin, il nous a visités lui-même par l'incarnation du Fils, fruit de son amour pour nous, afin que notre âme soit sauvée en échange de la foi en Lui. Sur la croix, Jésus a été fait malédiction pour nous (Ga 3.13), afin que nous entrions dans la bénédiction. "Mais il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités ; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris" (Esaïe 53.5).

Le temps du pardon de Dieu ne durera pas indéfiniment. Les temps pressent maintenant à cause de la dégradation des valeurs morales. Au temps de la grâce succèdera le temps de la colère de Dieu. N'attendons pas ce temps, car c'est un temps comme il n'y en a jamais eu sur la terre, le temps terrible de l'Apocalypse, où le Dieu tout-puissant va se révéler aux yeux du monde. Les chrétiens convertis n'ont rien à craindre puisqu'ils ne sont pas destinés à la colère. Ce sont les non-convertis, ennemis de la croix du Christ, qui se retrouveront sous le feu du jugement.
Aujourd'hui, "Dieu, sans tenir compte des temps d'ignorance, annonce maintenant à tous les hommes, en tous lieux, qu'ils aient à se repentir, parce qu'il a fixé un jour où il jugera le monde selon la justice, par l'homme qu'il a désigné, ce dont il a donné à tous une preuve certaine en le ressuscitant des morts..." (Actes 17.31).

Ecrit par alberto, le Mardi 16 Mars 2021, 00:02 dans la rubrique Dire Dieu.
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