Plus que jamais, notre monde a besoin de Christ !
Rien ne me rassure autant que d'avoir au coeur cette certitude : le Seigneur règne dans le ciel. J'aime à en ressasser la pensée. Il est assis sur son trône et autour de lui, sa gloire sainte retentit sans cesse en louanges. Il ne règne pas encore sur la terre comme il règnera d'une manière visible pendant le millenium, mais il règne comme Seigneur du ciel et de la terre. Il voit tout ce qui se passe dans le monde, dans les chaumières, dans les entreprises. Oui, dans quelque lieu que ce soit, il sonde les coeurs et les reins de tous. Rien n'est caché à ses yeux. Il connaît les secrets de la pandémie. Il voit les mains qui ont l'habitude de trafiquer les virus dans les laboratoires autant que les mains qui fabriquent les armes militaires servant à tuer. Il voit aussi les mains des soignants dans tous les centres de réanimation, celles qui font du bien envers ceux qui souffrent. Il voit ceux qui prient et il demeure extrêmement sensible à leurs prières.
Le Seigneur voit tous les secrets que nous ne connaissons pas, il entend toutes les paroles que nous n'entendons pas. Voilà pourquoi tout croyant lui faisant confiance, s'en trouve rassuré. Il entend dans son coeur les paroles de son Seigneur et il croit que toutes auront leur accomplissement. Il ne doute pas de la présence du Seigneur, même s'il ne le voit pas. "Car là où deux ou trois sont assemblés en mon nom, je suis au milieu d'eux" (Mat 18.20). Mais ce qui le rassure par-dessus tout, c'est l'assurance que le Seigneur habite en lui. "Vous, petits enfants, vous êtes de Dieu, et vous les avez vaincus, parce que celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde" (1 Jean 4.4).
Beaucoup trop de gens ont pris l'habitude d'ignorer l'existence de Dieu en refusant de croire. Je sais par mon expérience personnelle, combien il est difficile d'accepter cette croyance face à un monde tellement rempli d’injustice et de souffrance. Pour ma part, Dieu n'a pas hésité à me révéler son existence au bout d'une longue période de recherche. Depuis, je n'ai jamais douté de son existence, et je ne cesse de chercher à le connaître de plus en plus. Sa volonté est de se faire connaître par sa Parole et par le témoignage de ses fidèles. Le monde irait beaucoup mieux si les peuples acceptaient de croire en son existence et en cherchant à le connaître. Mais en rejetant le Christ, ils rejettent en bloc les bénédictions que Dieu a en réserve pour eux.
Le rejet de Dieu engendre toutes sortes de malédictions à tous les niveaux. Au lieu de laisser la place au Christ pour qu'il règne en donnant la vie éternelle – parce qu’il est lui-même la vie éternelle –, la place est laissée au péché qui n’apporte que maladies, souffrances et mort. La liste des malédictions causées par le péché nous est donné dans le livre du Deutéronome, ch. 28. Toutes les maladies de notre société y sont mentionnées. Les médecins font de leur mieux pour soulager et si possible guérir les malades, mais ils ne peuvent enlever le péché qui habite toute chair. Aussi longtemps qu'un homme est dans le rejet de Dieu, il demeure sous la malédiction du péché et de ses conséquences. "Car le salaire du péché, c'est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus Christ notre Seigneur" (Ro 6.23). Dès qu'il décide de se repentir en acceptant Jésus-Christ comme Sauveur et Seigneur, il est libéré de la malédiction et entre dans la bénédiction. Cela est rendu possible par le fait qu'en mourant sur la croix, Jésus a pris à son compte notre malédiction : "Christ nous a rachetés de la malédiction de la loi, étant devenu malédiction pour nous-car il est écrit: Maudit est quiconque est pendu au bois" (Ga 3.13).
La grâce de Dieu est en Christ, il suffit que nous la saisissions par la foi pour que notre vie change. Ce que nous n'aurions jamais pu imaginer nous arrive, mais cette fois en bien ! Nous passons de la mort à la vie, des ténèbres à la lumière. Un jour nouveau nous enchante, un jour qui nous fait entrevoir une espérance glorieuse dans la présence de celui qui a vaincu le monde et qui est ressuscité : Jésus-Christ. Il nous promet sa présence jusqu'à la fin du monde. Après, nous le verrons tel qu'il est. En attendant, il nous demande de croire en lui, de le rechercher de tout notre coeur, il a tout préparé pour nous conduire à travers ce monde chaotique, semé d'embûches. Il ouvrira à chacun de ses fidèles, un sentier rassurant, ou sa lumière éclairera chaque pas, où sa bénédiction sera comme la rosée du matin. Jésus est le bon berger, ses brebis connaissent sa voix. Elles ne suivront pas un inconnu ; au contraire, elles fuiront loin de lui, parce qu’elles ne connaissent pas sa voix. Puis elles écouteront attentivement l'enseignement du bon berger, leur disant : "Prenez garde, le voleur ne vient que pour dérober, égorger et détruire ; moi, je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu'elles soient dans l'abondance" (Jean 10.10-11).
Plus que jamais, notre monde a besoin de Christ !
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