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Comment un monde sans Jésus pourrait-il subsister ?
--> Où attachez-vous votre foi ?
Confinement, masques, vaccins… Qu'est-ce qui se cache derrière toute cette mise en scène politique et sanitaire ? Pourquoi tant d'incohérences dans les explications des scientifiques ? Pourquoi laisse-t-on parler les uns et cloue-t-on le bec à d'autres ? Peu à peu les esprits se réveillent devant les chiffres qu'on nous montre chaque jour et qui finalement ne veulent pas dire grand chose, en tout cas ils ne révèlent pas la vérité sur la pandémie. Il y a déjà une grande partie de la population occidentale qui est soumise à la peur, et si cela continue, quelle va être l'issue ?

En regroupant les vraies informations, il est possible d'entrevoir plusieurs vérités sur la situation. Cette pandémie ne s'est pas décidée toute seule, c'est clair, le professeur et prix Nobel Montagnier l'a souligné. Elle vient de Chine, d'un laboratoire de Wuhan. À propos de la Chine, des rumeurs laissent entendre qu'une "forte odeur de poudre" règne au sein des pourparlers américano-chinois, "afin que chacun comprenne que l'heure est à la guerre". En faisant sortir délibérément le virus d'un laboratoire de Wuhan, il est plausible que la Chine soit entrée en guerre contre l'Occident. Dès le début de la pandémie, Macron ne s'est-il pas exprimé en disant : "Nous sommes en guerre" ? Tout laisse à penser qu'il évoquait cette guerre biologique venue de Chine contre le monde occidental. L'avenir nous le dira.

D'un autre côté, le monde occidental, dont le rêve est de soumettre la population des pays occidentaux, ne se gêne pas pour saisir cette aubaine. Tous les pays qui rêvent d'une gouvernance mondiale (les habitués du mouvement de Davos), se rallient à l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) qui prend alors le contrôle de cette guerre biologique et psychologique : le gouvernement démocrate de Joe Biden, le gouvernement français de Macron, le gouvernement allemand de Merkel…

Pas besoin de révélations spéciales pour comprendre que la situation du monde ne va pas s'améliorer mais s'empirer. Qui ne s'en rend pas compte ? La bête citée dans Apocalypse 13 est en activité. Cultiver le positivisme n'y changera rien, il faut donc voir les choses en face et bien réfléchir par où attacher sa foi. Quand le ciel annonce le beau temps, il va faire beau, quand le ciel annonce l'orage, il va faire de l'orage. Les nuages qui forment les signes dans le ciel sont simplement différents. Il faut d'abord apprendre à les reconnaître, comme l'a suggéré Jésus aux foules : "Hypocrites ! vous savez discerner l'aspect de la terre et du ciel ; comment ne discernez-vous pas ce temps-ci ?" (Luc 12.56). Actuellement, nous sommes plutôt à l'heure des cumulonimbus.

Voilà où nous en sommes dans notre beau monde ! Mais qui donc nous a poussés au large, loin des côtes paisibles, comme un bateau ivre pris maintenant entre des flots impétueux ? Pourtant, combien de fois, ceux qui ont vu de loin arriver cette situation, ont voulu sonner l'alarme en comparant notre monde au fameux Titanic, dont le récit du naufrage n'est plus à conter. Le Titanic a coulé. Mais la barque des disciples prise dans la tempête et où Jésus dormait n'a pas coulé ! Il y a toujours une mauvaise et une bonne nouvelle !

Avec Jésus, il ne faut pas longtemps pour relever la tête et reprendre espoir ! Néanmoins, une grande leçon est à tirer de cet événement rapporté par Marc dans son évangile : "Ce même jour, sur le soir, Jésus leur dit: Passons à l'autre bord. Après avoir renvoyé la foule, ils l'emmenèrent dans la barque où il se trouvait ; il y avait aussi d'autres barques avec lui. Il s'éleva un grand tourbillon, et les flots se jetaient dans la barque, au point qu'elle se remplissait déjà. Et lui, il dormait à la poupe sur le coussin. Ils le réveillèrent, et lui dirent: Maître, ne t'inquiètes-tu pas de ce que nous périssons ? S'étant réveillé, il menaça le vent, et dit à la mer: Silence ! tais-toi ! Et le vent cessa, et il y eut un grand calme. Puis il leur dit: Pourquoi avez-vous ainsi peur ? Comment n'avez-vous point de foi ? Ils furent saisis d'une grande frayeur, et ils se dirent les uns aux autres: Quel est donc celui-ci, à qui obéissent même le vent et la mer ?" (Marc 4.35-41).

Jésus n'était pas à bord du Titanic. De ce naufrage, je ne crois pas que le monde en ait tiré la leçon. Sinon, les nations ne rejetteraient pas Dieu comme elles le font. Dieu est absent de la Constitution Européenne. Et là, il ne faut pas confondre Dieu et les religions, car Jésus n'est pas une religion, il est le "Sauveur du monde" (Jean 4.42 et 1 Jean 4.14). Nous voyons ainsi le monde s’avancer, l’orgueil en poupe, convaincu de sa propre suffisance pour subsister jusque dans les siècle à venir. Un monde égaré à la convenance de leurs dirigeants prêts à tout pour arriver à la conquête d'un pouvoir planétaire. Dénués de l'amour de la vérité, cela fait déjà quelques années que plusieurs chefs politiques ont entrepris de nous faire prendre des vessies pour des lanternes, et ils y arrivent en partie déjà. Le masque, le confinement, sont des instruments de soumission : fermer la bouche des gens, les priver de liberté… C'est tout ce que vous voulez, mais ce n'est certes pas ce que Dieu veut !

Comment un monde sans Jésus pourrait-il subsister ? Maintenant la question se pose, à savoir si Jésus est à bord de votre barque. S'il est en vous, et s'il dort, c'est l'heure de le réveiller, comme l’ont fait les disciples. Il vous réprimandera pour votre manque de foi, mais vous le supporterez et il vous bénira, la tempête n'aura pas d'effet sur vous, car il dira un mot et elle se calmera. En revanche, s'il est absent de votre vie, c'est l'heure urgente de l'inviter, de le supplier de venir prendre le contrôle de votre vie, et il va vous bénir. Sa volonté est de venir au plus vite, mais il n'en tient qu'à vous. Dans l'encombrement des choses qui vous préoccupent, vous devez lui faire une place et suivre ses recommandations. Il en va de votre salut. Il calmera pour vous la tempête et vous bénira. Si vous refusez le Sauveur du monde, c'est votre choix, mais alors la tempête ne se calmera pas et elle vous fera sombrer, corps et âme, comme ont sombré les victimes du Titanic dans le fond glacial de l'océan.

Où attachez-vous votre foi ? Aux paroles des hommes, ou à la Parole du Sauveur du monde ? À vous de réfléchir afin de prendre le plus vite possible la meilleure décision. Entre les mauvaises nouvelles qui se multiplient, choisissez la bonne nouvelle de l'Evangile ! Et avec les apôtres du Christ, comme avec tous les rachetés de tous les temps, vous pourrez dire : "Nous attestons que le Père a envoyé le Fils comme Sauveur du monde" (1 Jean 4.14). Avec Jésus, l'espoir revient, et plus que l'espoir : l'espérance ! Si le monde ne peut nous donner un avenir, Christ est venu pour nous ouvrir une voie jusque dans l'éternité. Il a déchiré le ciel. Il nous a trop aimé pour nous abandonner à la perdition du péché qui règne dans toute l'humanité. Il est venu pour nous en délivrer et nous racheter de la perdition éternelle. Il n'a pas hésité à s'abaisser et à renoncer pour un temps à sa divinité. Dans un corps semblable au nôtre et avec de grands cris, il s'est humilié et s'est couché sur la croix pour y être cloué.

"Il n'avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards, Et son aspect n'avait rien pour nous plaire. Méprisé et abandonné des hommes, Homme de douleur et habitué à la souffrance, Semblable à celui dont on détourne le visage, Nous l'avons dédaigné, nous n'avons fait de lui aucun cas. Cependant, ce sont nos souffrances qu'il a portées, C'est de nos douleurs qu'il s'est chargé ; Et nous l'avons considéré comme puni, Frappé de Dieu, et humilié. Mais il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos iniquités ; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, Et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris" (Esaïe 53.2-5).

Il y a un grand silence lorsque vous recevez avec foi ces paroles dans votre coeur, le même silence après que Jésus ait calmé la tempête. Un silence sidéral où les éléments n'ont plus le droit d'agir où le monde doit se taire, où Satan lui-même doit plier le genou. Seul, le sang du Fils de Dieu parle, le sang précieux de Christ, qui s'est offert en sacrifice pour le péché comme d'un agneau sans défaut et sans tache, pour le rachat de tous les êtres humains. "Vous avez été rachetés à un grand prix ; ne devenez pas esclaves des hommes" (1 Co 7.23). Rois, reines, chefs, dirigeants, ou simples serviteurs, ouvriers, servantes, le Seigneur Jésus-Christ ressuscité qui est assis à la droite de Dieu, vous parle ainsi, à vous comme à moi : "En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m'a envoyé, a la vie éternelle et ne vient pas en jugement, mais il est passé de la mort à la vie" (Jean 5.24). Ecoutez-le !

Ecrit par alberto, le Mercredi 7 Avril 2021, 07:35 dans la rubrique Dire Dieu.
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