Il faudra choisir entre le joug du malin et le joug de Jésus
Voilà qu'en plein été, on vous annonce la mauvaise nouvelle de la reprise prochaine de l'épidémie. L'étau se referme sur l'obligation vaccinale. Quoique une obligation officielle ne pourra sans doute jamais aboutir, aussi longtemps que l'Eglise de Dieu remplie du Saint-Esprit sera encore sur la terre. C'est ce qui retient actuellement le malin. Mais il n’a pas de retenue pour faire des choses qui sont soigneusement cachées au grand public. La confection d'armes bactériologiques est tenue secrète, pourtant elle existe. L'idée selon laquelle un virus aurait pu s'échapper d'un laboratoire est en réalité une blague. Le malin s'en rit ! Il n’a pas de problème pour réaliser un vaccin avant même de créer une pandémie. Evidemment, pour ceux qui ne connaissent pas le malin, c'est une histoire invraisemblable qui ne ressort que du complotisme.
Mais la vérité s’interprète par des signes observables. Regardez comme les autorités vous préparent des jours difficiles, avec un nouveau confinement, de nouvelles restrictions, de nouvelles obligations, de nouvelles peurs. Ils vous mettent un joug qui vient du malin, parce que le monde appartient au malin, cela lui a été donné. Lorsque ce même malin a eu le culot de tenter le Seigneur Jésus dans le désert, l'ayant élevé, il lui montra en un instant tous les royaumes de la terre, et lui dit : "Je te donnerai toute cette puissance, et la gloire de ces royaumes; car elle m'a été donnée, et je la donne à qui je veux. Si donc tu te prosternes devant moi, elle sera toute à toi" (Luc 4.5-7). Jésus répondit en citant les Ecritures : "Il est écrit: Tu adoreras le Seigneur, ton Dieu, et tu le serviras lui seul" (Luc 4.8). Voilà la réalité que le monde ignore. Le monde ne comprend donc rien de ce qui se passe et de ce qui se prépare.
Pour prendre le pouvoir, le malin qui ne connaît pas de pitié, a besoin d'un gouvernement mondial. Nous le voyons se profiler et s’établir sous nos yeux. Le joug qu'il prépare pour les individus ne sera pas léger. Il fera semblant d'agir pour le bien de l'humanité, mais en réalité ce sera pour sa destruction. Le diable avance toujours masqué, jamais il ne se montre avec son vrai visage. Pour un peu, les élus de Dieu s'y feraient prendre, tant il est subtil ! Et beaucoup s’y feront prendre en cédant par manque de foi. Le discernement nous est donné si nous nous réfugions corps et âme en Christ. Le chrétien qui a un pied dans le royaume de Dieu et un pied dans le monde sera aveuglé et pris au piège. Pareil pour les églises. Les églises prises d'aveuglement spirituel ne voient pas la nécessité de prêcher l’enlèvement de l’église ni la venue de l’antichrist. Elles n’en parlent pas.
En même temps il y a un jugement pour ceux qui n'ont pas l’amour de la vérité. Ceux qui n’aiment pas la vérité aiment le mensonge. Ceux-là seront servis par le malin en personne, le père du mensonge qui est le diable, et qui va entrer bientôt dans le corps d’une personne pour la posséder complètement. Cette personne est l'antichrist, qui se prépare actuellement dans un lieu secret (sans doute au Moyen-Orient) et qui se fera adorer. Il ne peut entrer en scène tant que l'église fidèle de Jésus-Christ est encore sur la terre.
En même temps, les jugement de Dieu sont suspendus au-dessus du monde. Il est écrit que les élus de Dieu ne sont pas destinés à la colère. Mais dès que le Seigneur Jésus aura enlevé son Eglise fidèle dans les airs, la colère de Dieu, contenue pendant tout le temps de la grâce depuis déjà deux mille ans, s'abattra brusquement sur le monde impie. Le diable sera précipité sur la terre. À ce moment-là, l’antichrist apparaîtra et commencera un règne de sept ans, qui prendra fin au retour en gloire de Jésus-Christ.
Avant les bouleversements des temps de la fin, la grâce de Dieu qui sauve de l’enfer est encore à saisir. L’appel pressant du Saint-Esprit se fait entendre : Croyez au Seigneur Jésus et vous serez sauvés !
Plus vous réfléchirez sur les choses terrestres, plus vous vous perdrez. Le Dieu tout puissant est infiniment grand et ses oeuvres nous dépassent. L'apôtre Jacques, dans sa lettre, veut nous encourager dans toutes nos souffrances : "Voici, nous disons bienheureux ceux qui ont souffert patiemment. Vous avez entendu parler de la patience de Job, et vous avez vu la fin que le Seigneur lui accorda, car le Seigneur est plein de miséricorde et de compassion" (Ja 5.11). En effet, nous voyons comment Job fut amené dans sa souffrance à s'humilier et à se taire devant le Dieu créateur du ciel et de la terre, lui qui avait tout perdu jusqu'à ses fils et ses filles. Et nous voyons comment la miséricorde et la compassion du Seigneur a récompensé Job : "L'Éternel rétablit Job dans son premier état, quand Job eut prié pour ses amis; et l'Éternel lui accorda le double de tout ce qu'il avait possédé. Il eut sept fils et trois filles" (Job 42.10-13).
Aujourd'hui nous avons bien plus de ce que Job avait en son temps ! Par la foi en Christ, nous avons un héritage éternel qui nous est promis et que nous pouvons saisir dès maintenant en devenant enfant de Dieu : "Mais à tous ceux qui l'ont reçue (la parole, la lumière), à ceux qui croient en son nom (Jésus), elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, lesquels sont nés, non du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l'homme, mais de Dieu" (Jean 1.12-13).
Il faudra choisir entre le joug du malin qui est lourd et le joug de Jésus qui est léger. "Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, dit Jésus, car je suis doux et humble de coeur ; et vous trouverez du repos pour vos âmes. Car mon joug est doux, et mon fardeau léger" (Mat 11.29-30).
Ecrit par
alberto, le Vendredi 9 Juillet 2021, 17:10 dans la rubrique
Dire Dieu.
Repondre a cet article
Version
XML
- Cette page est peut-être encore
valide XHTML1.1 et CSS sans tableaux.
