La perte de l'âme, c'est la seconde mort !
Plus nous connaîtrons Dieu, plus nous connaîtrons son adversaire, le diable, et plus nous pourrons déjouer ses plans. Dans une guerre, plus tu connais l'ennemi, plus tu as des chances de le vaincre. La victoire en dépend.
Lorsque vous regardez la société, vous voyez des hommes, des femmes, des enfants qui ont leur joie et leurs peines, mais vous voyez clairement que ce sont davantage les peines qui les accablent. Lorsque vous considérez que tous vivent dans le rejet de Dieu et dans l'ignorance de son existence, alors vous commencez à comprendre le drame qui se joue sur notre belle planète. Si les hommes ne connaissent pas Dieu, le diable, lui, les connaît ! Tous sont entre ses mains !
Si quelqu'un ne connaît pas Jésus dans son intimité, il est encore dans les ténèbres, et il est dans les mains du diable.
Connaître Jésus dans son intimité ne se fait pas à coup de baguette magique. Cela implique d'abord une série de démarches. Suis-intéressé ? Est-ce que mes sens s'éveillent lorsque j'entends quelqu'un parler de Jésus ? Comme ces deux disciples dans la Bible qui entendirent Jean Baptiste dire : "Voici l'agneau de Dieu qui ôte le péché du monde" et qui se mirent à suivre Jésus. "Jésus se retourna, et voyant qu'ils le suivaient, il leur dit: Que cherchez-vous? Ils lui répondirent: Rabbi (ce qui signifie Maître), où demeures-tu? Venez, leur dit-il, et voyez. Ils allèrent, et ils virent où il demeurait; et ils restèrent auprès de lui ce jour-là" (Jean 1.36-39). Si quelqu'un n'est pas attiré par Jésus, comment voulez-vous qu'il le suive ? Il faut donc d'abord être attiré vers Jésus. Le Père s'en charge. Ensuite il faut vivre avec lui. Peu à peu vous apprenez à le connaître. C'est ainsi que tous les disciples de Jésus qui sont devenus les apôtres ont appris à le connaître, en vivant avec lui jour et nuit. Mais ce n'est pas tout, car Jésus leur dispensait un enseignement. Lorsqu'il enseignait, il se formait presque toujours une foule avec ses disciples. Alors il parlait souvent en paraboles, et en privé, il expliquait à ses disciples le sens de ses paraboles. Puis, après avoir enseigné les foules, on amenait les malades à Jésus pour qu'il les guérisse, et il les guérissait tous par des miracles.
Aujourd'hui, pour connaître Dieu, nous avons sa Parole qui est la Bible. C'est vers la Bible que je m'oriente si je veux connaître Dieu. Les évangiles vont me montrer la vie de Jésus, ses actes et ses paroles. Si je le crois, la foi va jaillir de mon coeur comme une source puissante qui ne s'arrêtera jamais de couler. Je vais recevoir l'Esprit de Dieu et toute la parole biblique va s'éclairer petit à petit de la première page de la Bible jusqu'à la dernière. Je vais comprendre l'oeuvre de Dieu, ce qu'il fait avec la terre, le ciel, les hommes, tout ! Je vais connaître l'amour et la justice de Dieu contenus dans son Fils Jésus. Et je vais le recevoir, lui, Jésus, dans mon coeur. Je vais être transporté, c'est le cas de le dire, et je vais l'adorer en esprit et en vérité. C'est le miracle le plus extraordinaire, celui de passer de la mort à la vie, des ténèbres à la lumière, et de voir le royaume de Dieu. "Rendez grâces au Père, qui vous a rendus capables d'avoir part à l'héritage des saints dans la lumière, qui nous a délivrés de la puissance des ténèbres et nous a transportés dans le royaume du Fils de son amour, en qui nous avons la rédemption, la rémission des péchés" (Col 1.2-14).
À cause de l'incrédulité, le monde entier ne voit que le monde et ne voit pas le royaume de Dieu. Pourtant il vient et il va supplanter tout ce qui est à la surface de la terre. Tout va disparaître, comme du temps de Noé et de lot. Lorsque l'incrédulité atteint les limites de l'intolérable, Dieu est obligé d'intervenir par des jugements. Il fait grâce au pécheur, mais si le pécheur la refuse, il est obligé d'exercer son jugement. Refuser la grâce de Dieu, c'est aussi refuser son amour, puisqu'il est écrit : "Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle" (Jean 3.16).
Tout va disparaître et il ne restera sur terre que le royaume de Dieu. Le diable, actuellement joue son dernier acte. Tous sont enrôlés avec lui, sauf ceux qui appartiennent à Christ. Tous sont frappés d'aveuglement pour croire aux mensonges, parce qu'ils n'ont pas voulu recevoir l'amour de la vérité pour être sauvés, sauf ceux qui décident de se démarquer en sortant des rangs. Car il est encore temps de chercher Dieu et de suivre Jésus. "Personne n'a jamais vu Dieu; le Fils unique, qui est dans le sein du Père, est celui qui l'a fait connaître" (Jean 1.18).
L'ennemi, le diable, a une haine extrême contre Jésus qui, par la crucifixion, a dévoilé ses actions, l'a mis à nu et lui a enlevé toute sa puissance : "Il a effacé l'acte dont les ordonnances nous condamnaient et qui subsistait contre nous, et il l'a détruit en le clouant à la croix; il a dépouillé les dominations et les autorités, et les a livrées publiquement en spectacle, en triomphant d'elles par la croix" (Col 2.14-15). Quelle victoire complète du Seigneur Jésus ! Le diable est donc un ennemi vaincu qui n'a plus de pouvoir contre le Saint-Esprit, mais qui n'est pas encore jeté dans l'étang de feu et de souffre, il garde sa puissance sur la chair et sur le monde incrédule. Depuis le monde invisible, il fait la guerre aux saints, ceux qui appartiennent à Dieu, et a le pouvoir de les persécuter. Il domine sur le monde en poursuivant son plan qui est de s'asseoir dans le Temple de Dieu qui sera reconstruit à Jérusalem, jusqu'à se prendre pour Dieu. Il le fera par l'homme qu'il est en train de préparer en secret, l'antichrist, qui interviendra bientôt à en voir le dénouement du monde. Ce qui déclenchera la colère des cieux. Mais nous n'en sommes pas encore là. La vaccination actuelle contre le Covid-19 n'est pas la puce électronique dont il est question dans la Bible, que seul l'antichrist (l'homme du péché, le fils de la perdition) ordonnera d'insérer à tous sur la main ou sur le front, "afin que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom" (Ap 13.17), mais elle est un conditionnement qui prépare la population mondiale.
Les désastres causés par les maladies, les intempéries, sont considérables. En un rien de temps, vous pouvez perdre tous vos biens, et même la vie. Mais ce n'est encore rien par rapport aux pertes causées par le péché et les actions du diable. Par le manque de foi, le jugement de Dieu s'abat et vous perdez votre âme ! C'est le message que Dieu voudrait nous faire passer aujourd'hui à l'heure des dérèglements en tout genre. Il y a plus grave que de perdre tous ses biens, lorsqu'on perd son âme : c'est la seconde mort (Ap 2.11). "Que servirait-il à un homme de gagner tout le monde, s'il perdait son âme ? ou, que donnerait un homme en échange de son âme ?" (Mat 16.26). Nous n'avons rien pour sauver ou racheter notre âme. Il n'y a que le sang de Jésus-Christ qui a ce pouvoir. Si je ne m'en saisis pas par la foi du temps de mon vivant, alors tout est perdu ! Souvenons-nous : "Le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché" (1 Jean 1.7). Dans le désir de ne perdre aucune âme, Jésus n'a eu cesse de nous éclairer ! Prenons garde avec respect et retenons ses paroles : "Ce que je vous dis dans les ténèbres, dites-le en plein jour ; et ce qui vous est dit à l'oreille, prêchez-le sur les toits. Ne craignez pas ceux qui tuent le corps et qui ne peuvent tuer l'âme ; craignez plutôt celui qui peut faire périr l'âme et le corps dans la géhenne" (Mat 10.27-28).
Ecrit par
alberto, le Vendredi 16 Juillet 2021, 12:07 dans la rubrique
Dire Dieu.
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