Division du peuple et unité de l'Eglise (celle de Jésus-Christ)
La pire calamité qu'un peuple puisse s'attirer, c'est la division, le contraire de l'union, ou de l'unité. L'union fait la force, la division sa faiblesse. Qui peut vouloir la faiblesse d'un peuple ? Il n'y que le malin pour travailler à la division d'un peuple. C'est un esprit de destruction qui engendre la peur et qui mène au chaos. Si le gouvernement est animé d'un tel esprit, alors cela vient du malin. Si les gouvernants ont saisi la pandémie comme une bonne aubaine afin d'assouvir leur plan machiavélique qui est de soumettre le monde entier en un seul pouvoir, alors ils sont en passe de réussir. Ce n'est plus qu'une question de temps. Mais sachez que s'ils travaillent pour la division du peuple en dressant une partie contre l'autre, celle des vaccinés contre les non-vaccinés, ils travaillent aussi pour leur propre destruction. Ecoutez l'enseignement de Jésus : "Si un royaume est divisé contre lui-même, ce royaume ne peut subsister ; et si une maison est divisée contre elle-même, cette maison ne peut subsister. Si donc Satan se révolte contre lui-même, il est divisé, et il ne peut subsister, mais c'en est fait de lui" (Marc 3.24-26). Ensuite écoutez bien le verset suivant : "Personne ne peut entrer dans la maison d'un homme fort et piller ses biens, sans avoir auparavant lié cet homme fort; alors il pillera sa maison" (Marc 3.27).
Par sa victoire sur la croix, Jésus a déjà lié cet homme fort, Satan, en ce sens qu'il a perdu toute puissance. Il sera lié réellement pendant le règne de mille ans de Jésus, à la suite de quoi il sera délié brièvement pour la toute fin et pour être jeté dans l'étang de feu et de souffre. Si nous n'avons pas reçu cet enseignement, nous risquons de tomber dans la peur. Le Saint-Esprit guide les croyants dans toute la vérité et les conduit dans la joie parce qu'ils ont l'espérance de Jésus dans leur coeur. Ce n'est pas le cas pour les non-croyants qui sont conduits dans la panique et la peur. Nous qui sommes de Dieu, nous ne devons pas oublier que le monde entier est sous la puissance de Satan, mais que la puissance de Satan s'annule devant le Saint-Esprit de Dieu. Pour ne pas tomber dans le créneau des non-croyants, où la peur et la panique sont le lot quotidien, nous avons intérêt à recevoir les enseignements de Jésus, afin d'être remplis du Saint-Esprit, et si possible de sa puissance. L'ignorance ne nous permettra pas d'être remplis de l'Esprit, et Satan y trouvera son avantage. Dieu ouvre la voie au milieu des remous actuels à tous les croyants qui marchent non selon la chair, mais selon l'Esprit. Et marcher selon l'Esprit, cela s'apprend !
"Dieu n'est pas un Dieu de désordre, mais de paix" (1 Co 14.33). Autant Dieu aime les choses ordonnées, bien construites, paisibles, autant Satan aime le désordre et la confusion, et il aime la guerre. Dieu aime la paix. C'est pourquoi, nous disons : "Jésus est notre paix" parce que nous savons que là où est Jésus, il y a vraiment la paix, et là où Jésus n'est pas admis ni souhaité, il y a la guerre – guerre latente peut-être au début, mais guerre réelle plus tard lorsque la tension n'est plus soutenable.
La politique reste la même, déchirée en deux. La droite et la gauche divisent le peuple ; à cette division vient s'ajouter maintenant les vaccinés et les non-vaccinés, c'est absurde ! L'Eglise de Dieu, elle, est divisée par les dénominations, c'est aussi absurde !
Savez-vous à quoi Jésus travaille actuellement jusqu'à son retour ? Au perfectionnement des membres de son Eglise. Il travaille à l'unité de son Eglise. Nous nous souvenons de sa prière au Père, avant sa crucifixion, ayant pour objectif l'union de chaque membre avec le Seigneur, ce qui engendrera l'unité parfaite de son Eglise : "Ce n'est pas pour eux seulement que je prie, mais encore pour ceux qui croiront en moi par leur parole, afin que tous soient un, comme toi, Père, tu es en moi, et comme je suis en toi, afin qu'eux aussi soient un en nous, pour que le monde croie que tu m'as envoyé" (Jean 17.20-21). Tout ce que Dieu fait est parfait, et son Eglise sera parfaite. Il va enlever une Eglise glorieuse, sans tache, ni ride, ni rien de semblable, mais sainte et irrépréhensible" (Ep 5.27).
Le monde l'ignore, mais les croyants ne doivent pas l'ignorer, au risque de rater l'enlèvement et de se voir livrés à la colère de Dieu. Ce n'est pas la volonté du Père que ses enfants soient livrés à l'antichrist, lequel obligera d'une manière rigoureuse le monde entier à l'adorer et à prendre la marque de la bête. La marque de la bête ne procédera pas d'une vaccination comme c'est le cas actuellement, mais par l'insertion d'une puce électronique sous la peau. Si quelqu'un la refuse, il sera privé de tout, il ne pourra ni vendre ni acheter et sera mis à mort. En revanche, accepter l'adoration de la bête avec sa marque, conduira à la perdition éternelle à cause de l'emprise satanique qui aura lieu, car Satan sera dans l'antichrist pendant les sept années que dureront la tribulation finale, mais surtout pendant la deuxième période de trois ans et demi qui sera la grande tribulation décrite dans le livre de l'Apocalypse.
Quand ces choses arriveront-elles ? Jésus nous a laissé entendre que l'enlèvement de l'Eglise, sera brusque. "Pour ce qui est du jour et de l'heure, personne ne le sait, ni les anges des cieux, ni le Fils, mais le Père seul" (Mat 24.36). Les signes des temps, cependant, nous laissent percevoir que ces événements ne sont plus si lointains et nous incitent à nous préparer doucement mais sûrement, sans peur ni panique. Sachant que Dieu est souverain en toutes choses, en toutes situations, en toutes créatures, dans tout l'univers, et en fonction de sa parole éternelle qui est en Jésus-Christ ainsi que dans la Bible. Restons humblement attachés à notre Sauveur, faisons-lui confiance de tout notre coeur, en nous appuyant sur sa patience, sa fidélité, sa miséricorde, sa compassion. Même si le temps est court, Dieu sait que les bébés qui naissent aujourd'hui ont besoin de temps pour s'épanouir, grandir et connaître à leur tour le salut. Nous connaissons tous la célèbre citation de Martin Luther : "Si l'on m'apprenait que la fin du monde est pour demain, je planterais quand même un pommier".
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