L'expérience la plus précieuse qu'un homme ou une femme puisse faire dans ce monde
Où en sommes-nous entre le combat de la vérité et du mensonge ? Il faut dire que la recherche en soi serait simplifiée s'il n'y avait pas eu ce brouillage dans les pensées, et qui a fait changer l'ordre des choses. Aujourd'hui, le bien est appelé mal et le mal bien ! C'est un malheur que le peuple ressent avant de le comprendre et qui le force à ne plus être en phase avec le pouvoir. Plus exactement, ce sont les élites qui ne sont plus en phase avec un peuple soumis à une tyrannie sanitaire, dont les processus de ruse sont encore en développement. Le combat pour la liberté devient inévitable. Il est en gestation. L'ordo ab chao de la franc-maçonnerie finira un jour par sonner le glas, avec sa violence qui consiste à mettre de l'ordre dans le désordre. Quelle drôle de période crépusculaire !
Si je ne connaissais pas Dieu, je serais terrifié ! Je n'aime pas le mal. Je n'aime pas les pavés lancés au cours de la révolution de mai 68, encore moins le sang versé de la révolution de 1789. Je n'aime pas la violence. J'aime la paix, et tout ce qui est bien et bon. J'aime aussi la vérité. Si je suis devenu chrétien, c'est par attirance. Je ne l'avais pas compris avant que Dieu lui-même ne m'attire à lui, par un appel mystérieux reçu au coeur. J'ai trouvé en lui tout ce que je cherchais. Si j'avais aimé le mensonge, je ne l'aurais jamais trouvé et Dieu ne m'aurait jamais attiré. Il est la vérité dans la personne du Fils ! Lorsque j'ai lu dans l'évangile de Jean, l'affirmation de Jésus, je suis tombé carrément des nues : "Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi" (Jean 14.6). Ma vie a changé, je crois, autour de ce verset central. Ce que des milliers d'hommes, de grands hommes, des hommes illustres, écrivains, philosophes, docteurs… n'avaient pas trouvé, moi, une personne sans grande instruction, je l'ai trouvé ! Cela veut dire que toi aussi tu peux le trouver.
La Bible dit encore une phrase qui révèle tout ce qui peut être révélé sur la personne de Jésus-Christ : "Jésus a fait encore beaucoup d'autres choses ; si on les écrivait en détail, je ne pense pas que le monde même pût contenir les livres qu'on écrirait" (Jean 21.25).
Mais pourquoi tant de gens ne parviennent-t-ils pas à trouver Dieu ? Parce qu'ils n'aiment pas assez la vérité et qu'ils sont toujours prêts à faire des concessions avec le mensonge. L'orgueil est aussi la barrière principale qui empêche d'écouter les commandements de Dieu. "On a beau crier alors, Dieu ne répond pas" (Job 35.12). L'orgueil de l'homme est ce qui le perd. Cela commence très tôt dans la vie d'une personne. "L'enfant laisse déjà voir par ses actions si sa conduite sera pure et droite" (Pro 20.11). Plus tard, quand l'orgueil s'est installé, il est difficile de s'abaisser. Il est clair que devant Dieu, les orgueilleux ne subsistent pas. "Dieu résiste aux orgueilleux, mais il fait grâce aux humbles" (Jacques 4.10). "Il a renversé les puissants de leurs trônes, et il a élevé les humbles" (Luc 1.52). Il a renversé Lucifer (devenu le diable) qui a voulu s'élever jusqu'à Dieu, et il a élevé Jésus qui s'est humilié. Pour nous, pécheurs, il n'y a pas meilleur exemple que le Fils de Dieu, d'où l'exhortation de la Bible : "Ayez en vous les sentiments qui étaient en Jésus-Christ, lequel, existant en forme de Dieu, n'a point regardé comme une proie à arracher d'être égal avec Dieu, mais s'est dépouillé lui-même, en prenant une forme de serviteur, en devenant semblable aux hommes ; et ayant paru comme un simple homme, il s'est humilié lui-même, se rendant obéissant jusqu'à la mort, même jusqu'à la mort de la croix. C'est pourquoi aussi Dieu l'a souverainement élevé, et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom" (Phi 2.5-9).
Dieu, le Dieu tout-puissant, le créateur du ciel et de la terre, s'est abaissé à la hauteur de l'homme. Le Fils de Dieu qui vit éternellement avec le Père, en Esprit – car Dieu est Esprit (Jean 4.24) –, a pris un corps de chair. "C'est pourquoi Christ, entrant dans le monde, dit : Tu n'as voulu ni sacrifice ni offrande, mais tu m'as formé un corps ; tu n'as agréé ni holocaustes ni sacrifices pour le péché. Alors j'ai dit : Voici, je viens (Dans le rouleau du livre il est question de moi) pour faire, ô Dieu, ta volonté" (Hé 10.5-7). La volonté de Dieu est dirigée par son amour et sa justice. Le péché est entré dans le monde depuis la désobéissance d'Adam et Eve, entraînant l'humanité toute entière dans le péché, dont la conséquence est la mort du corps et de l'âme. Sans intervention divine, l'humanité toute entière serait privée de la gloire de Dieu, du paradis, et jetée systématiquement dans un lieu réservé au diable et à ses démons, où ils seront tourmentés jour et nuit, aux siècles des siècles : "l'étang ardent de feu et de soufre" (Ap 20.10).
La venue de Jésus est donc loin d'être une affaire insignifiante ! La déraison la plus forte qui friserait la folie la plus folle, serait de ne pas y prêter attention. C'est hélas le cas des générations qui se succèdent ! Alors que dans la bouche du Seigneur, c'est une supplication à l'adresse de tous, sans exception. "Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu ; et ils sont gratuitement justifiés par sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est en Jésus-Christ" (Ro 3.23-24). Sur la croix de Golgotha, il y a maintenant un peu plus de deux mille ans, Jésus a pris en son corps notre condamnation. Il s'est offert une fois pour toutes en sacrifice pour le péché des hommes. Cet acte d'amour du Fils de Dieu, qui a donné sa vie pour nous tous, permet à quiconque croit en lui, d'être sauvé de l'enfer et d'hériter le paradis. "Nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu ! Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu" (Co 5.20-21). D'une part, discernez l'amour de Dieu qui nous aime, et d’autre part, sa justice, celle de Jésus-Christ : la foi en lui nous justifie !
Pour entrer dans le paradis, nous avons besoin d'être justifiés, car tout est saint dans le paradis. De même que Dieu est saint, nous avons besoin d'être sanctifiés pour vivre dans sa présence. C'est l'oeuvre de Dieu pour nous, grâce à celui qu'il a envoyé : Jésus. Dès que nous sommes "en Christ", dès que nous l'avons reconnu et accepté comme notre Sauveur, nous sommes une nouvelle créature, comme la Bible le confirme : "Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles" (2 Co 5.17). C'est l'expérience la plus précieuse qu'un homme ou une femme puisse faire dans ce monde. Que chacun réfléchisse et prenne une décision face au message de l'évangile de Jésus-Christ. Il est temps maintenant de le faire, dans le calme de sa conscience, avant qu'il ne soit trop tard.
Le monde est en crise comme il ne l'a jamais été. Nous sommes à un tournant. Les prochains mois vont être décisifs pour la tournure des événements de l'avenir. L'Histoire montre que la France a une grande influence sur l'Europe. Le prochain Président de la République aura-t-il à coeur de s'approprier à nouveau les vraies valeurs chrétiennes qui ont été balayées, celles qui permettent une vie digne et respectueuse de l'individu ? Voilà la question qui demeure en suspens. Dieu a le pouvoir de changer les choses et il écoute les prières efficaces des justes. L'église est assez muette, mais nous, si nous avons le saint-Esprit, n'hésitons pas à intercéder en faveur des candidats. Nous avons l'autorité, au nom de Jésus-Christ, de faire reculer le malin avec sa malédiction et d'apporter, par notre prière, la bénédiction sur le pays !
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