Notre salut est en jeu
Je trouve que certains de nos présidents qui ont accepté d'entrer en politique, ici et là, ont raté une grande carrière dans le cinéma ou dans le show-biz. En les observant dans leurs actions et en écoutant leurs discours, on s'aperçoit qu'ils s'affichent parmi la génération Tik Tok comme des gamins jouant dans un monde virtuel et prenant la vie réelle pour un jeu vidéo. Évidemment, les médias de masse leur donnent une image favorable, servie avec une dose d'émotion et d'humanisme permettant au grand public de l'accepter avec enthousiasme. Mais c'est une fausse image. Leur vraie image, il faut aller la chercher ailleurs sur des médias de vérité.
C'est fou comme la propagande médiatique a le pouvoir de transformer les cerveaux et les consciences ! C'est pourquoi, même en temps de crise et d'économie d'énergie, la télévision ne cessera pas de fonctionner. Les jours viennent, affirme la Bible, où l'antichrist utilisera cette image animée pour se faire adorer. Comme si notre monde réel était en train de se transformer en un monde virtuel dans lequel nous aurions plusieurs vies et où les morts ne comptent pas. Le virtuel a envahi notre société d'un seul coup et l'a déjà transformée radicalement. Il nous a apporté des avantages, mais aussi des inconvénients. Si les robots font le travail des humains, que vont-ils faire, eux, les humains ? Seront-ils payés à ne rien faire ?
Il est un fait que les humains pourraient observer s'ils n'avaient pas la conscience troublée, c'est que l'arrivée de l'informatique, avec le virtuel et le fameux nombre six cent soixante-six, coïncide avec l'arrivée des temps de la fin. Les temps de la fin ne désignent pas la fin du monde, mais la fin d'une période, celle de la grâce en Jésus-Christ. Pendant que les hommes sont occupés à la fabrication de robots, ils n'ont pas l'intelligence d'observer les signes des temps, comme Jésus le reprochait déjà en son temps : "Quand vous voyez un nuage se lever à l'occident, vous dites aussitôt : La pluie vient. Et il arrive ainsi. Et quand vous voyez souffler le vent du midi, vous dites : Il fera chaud. Et cela arrive. Hypocrites ! vous savez discerner l'aspect de la terre et du ciel ; comment ne discernez-vous pas ce temps-ci ?" (Luc 12.54-56). Nous savons que les temps de la fin sont arrivés parce que nous avons observé que tous les signes annonçant le retour de Jésus sont accomplis. Sans les passer en revue, les deux grands signes qui nous parlent sont la reconnaissance de l'état d'Israël en 1949 et la ville de Jérusalem décrétée capitale d'Israël en 1967. Jésus ne pouvait pas revenir avant ces dates, car les prophéties du retour de Jésus se rapportent à ce pays et à cette ville. Il fallait d'abord que ces lieux géographiques soient officiellement reconnus. C'est fait, dès lors Jésus peut revenir à tout moment. Tous ceux qui l'attendent gardent sa parole en mémoire : "Veillez donc, puisque vous ne savez ni le jour, ni l'heure" (Mat 25.13).
Un signe, cependant, reste à s'accomplir : la confirmation d'un traité de paix entre Israël et les nations. Alors s'accomplira la prophétie de Jésus : "Quand les hommes diront : Paix et sûreté ! alors une ruine soudaine les surprendra, comme les douleurs de l'enfantement surprennent la femme enceinte, et ils n'échapperont point" (1 The 5.3).
Nous sommes dans un monde absurde, chicanier et dangereux. La peur étant la manne quotidienne, je suppose qu'une grande partie de la société est sujette à faire des cauchemars la nuit. Une statistique montre que les Français sont les champions de la consommation de médicaments et notamment de tranquillisants. L'expression "Vivre comme Dieu en France" a certainement perdu de son sens et ne reste plus qu'une imagination. En réalité, Dieu est loin de la pensée des gens. Non pas que Dieu, lui, s'est éloigné puisqu'il est écrit que "Dieu n'est pas loin de chacun de nous" (Actes 17.17). Mais c'est l'homme qui ne veut plus entendre parler de lui. La peur innée du châtiment n'en demeure pas moins dans son âme, comme Adam et Eve qui, après avoir péché, s’étaient caché de la face de leur Créateur. Quand celui-ci les a appelé en disant : "Adam où es-tu ?", Adam répondit : "J'ai entendu ta voix dans le jardin, et j'ai eu peur, parce que je suis nu et je me suis caché" (Ge 3.9-10). Le péché du premier homme dans le jardin d'Éden, est la désobéissance au commandement de Dieu qui lui avait dit : "Tu pourras manger de tous les arbres du jardin, mais tu ne mangeras pas de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras" (Ge 2.16-17). Nous connaissons la suite. Le serpent ancien (le diable), a séduit Eve qui mangea du fruit et en donna à son mari. Et c'est ainsi que le péché est entré dans le monde. Et voilà pourquoi notre monde aujourd'hui va si mal jusqu'à aller vers sa destruction.
Les hommes de toutes époques pourront s'évertuer à rendre le monde meilleur, rien n'y fera. Les guerres seront toujours au rendez-vous. Souffrances, destructions, morts, restent jusqu'à ce jour le lot de l'humanité. Pourtant, il n'y a pas de place au désespoir quand on sait que le Créateur n'a pas abandonné sa créature. En effet, Depuis le début de la chute, Dieu a pris soin d'Adam et Eve en leur donnant des habits de peau de bête sacrifiée, afin de couvrir leur nudité. Puis il dit au serpent : "Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité : celle-ci t'écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon" (Ge 3.15). La prophétie s'est réalisée à la venue de Jésus. En mourant sur la croix et en ressuscitant, Jésus a vaincu celui par lequel le péché est entré dans le monde. Seul le Fils de Dieu, qui est saint, avait le pouvoir de le faire. "Car, comme par la désobéissance d'un seul homme beaucoup ont été rendus pécheurs, de même par l'obéissance d'un seul beaucoup seront rendus justes" (Ro 5.19). Pour chacun de nous. Il suffit de mettre sa foi en Jésus-Christ pour être rendu juste devant Dieu. Y a-t-il au monde quelque chose de plus compliqué ? C'est d'une simplicité enfantine, mais qui rebute la plupart à cause d'un égo démesuré. L'orgueil est ce qui a fait chuter Lucifer, devenu le diable, l'adversaire de Dieu. Son but est donc d'entraîner à sa suite toute l'humanité, si possible, afin qu'elle périsse avec lui dans l'étang de feu et de soufre qui lui est réservé pour l'éternité (Ap 20.10).
Si l'orgueil précède la chute, il n'y a qu'une solution pour s'en préserver : réagir au message de l'Évangile et choisir l'humilité. "Avant la ruine, le coeur de l'homme s'élève ; mais l'humilité précède la gloire" (Proverbes 18.12). L'humilité mène au paradis ! C'est la voie par excellence que Jésus lui-même a suivie pour nous sauver. Notre salut est en jeu. Tous, nous avons besoin de nous remettre en question en méditant cette parole concernant notre Sauveur et Seigneur : "Ayez en vous les sentiments qui étaient en Jésus-Christ, lequel, existant en forme de Dieu, n'a point regardé comme une proie à arracher d'être égal avec Dieu, mais s'est dépouillé lui-même, en prenant une forme de serviteur, en devenant semblable aux hommes ; et ayant paru comme un simple homme, il s'est humilié lui-même, se rendant obéissant jusqu'à la mort, même jusqu'à la mort de la croix. C'est pourquoi aussi Dieu l'a souverainement élevé, et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom, afin qu'au nom de Jésus tout genou fléchisse dans les cieux, sur la terre et sous la terre, et que toute langue confesse que Jésus-Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père" (Ph 2.5-11).
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