"Ordo ab chao" : l'ordre viendra du chaos.
L'alarme sonne de partout, ce sont des transports de l'Esprit qui appellent à veiller et à prier et à ne pas prendre à la légère l'annonce du retour de Jésus. Dans certains pays, comme l'Allemagne, les cloches des églises sonnent toujours lorsque l'assemblée réunie dit à haute voix la prière que Jésus a enseignée à ses disciples : "Notre Père". Le pays est habitué depuis des lustres à cette ambiance des cloches qui sonnent dans les villes et les campagnes, immobilisant autrefois, pour un moment, les travailleurs de la terre qui se mettaient alors à prier. C'est ce qui a inspiré certains tableaux de Millet, comme "L'angélus".
Ce temps est-il révolu ? Nous voyons que le monde change. Une angoisse monte au coeur de la population, à l'idée que cette tradition millénaire, si sécurisante pour l'âme chrétienne, pourrait être remplacée par les appels à la prière musulmane des muezzins depuis leur mosquée. Les temps changent sous nos yeux. La particularité de ces changements est surtout caractérisée par l'impuissance des peuples face aux décisions politiques prises au-dessus d'eux. On ne demande plus l'avis à personne et l'individu s'en trouve bafoué, confronté à des situations qu'il ne maîtrise plus. On lui demande simplement de subir sans rien dire.
Ce que l'homme subit aujourd'hui est tout simplement un appauvrissement par les riches. Il faut parler évidemment des ultra-riches qui s'approprient le destin de l'humanité. Le commun des mortels ne comprendra pas tout de suite ce qui lui arrive. Néanmoins, le combat qui se joue, entre la vérité et le mensonge, entre la justice et l'injustice, se révélera au grand jour lorsque la vérité éclatera, – parce que la vérité finit toujours par triompher. Comment réagiront les peuples lorsqu'ils comprendront les dessous d'une pandémie qui n'a fait, en réalité, que 1 % de morts parmi les personnes âgées, quand les vaccinés apprendront qu'on leur a injecté une substance expérimentale et qu'ils ont servi de cobayes ? Ne se sentiront-ils pas trahis par leur gouvernement ? Tout l'Occident est touché. Le plan oligarchique des gouvernements en place et qui travaillent en vue de l'affaiblissement général, se déroule sous la bannière ancienne qui n'a pas changé : "Ordo ab chao" : l'ordre viendra du chaos.
Au cours de la crise sanitaire marquée de mesures liberticides, nous avons observé l'OMS prendre certaines dispositions contre la vaccination, ou contre les risques d'effets secondaires, entre autres, afin de se placer du bon côté des choses, au cas où le vent tournerait. Et c'est bien à cause d'un basculement de la situation que nous voyons déjà des médecins ou des journalistes de renom, se retirer de leur engagement avec le gouvernement, dans la crainte d'innombrables procès mentionnant la grave accusation de crime contre l'humanité.
La fin de la pandémie fait craindre des soulèvements violents, nécessitant une répression en conséquence. Si l'armée intervient, ce sera la preuve que le but est atteint et que le chaos est là. Ordo ab chao, l'ordre viendra par le chaos. Dès lors, l'idée d'un gouvernement mondial sera applicable par les politiciens en place. C'est leur but. Une reprise en main musclée de la civilisation, un reset complet de l'organisation humaine. Nous sommes en 2022 et nous nous demandons, non pas ce que nous réserve l'avenir, mais ce que nous réserve l'automne prochain !
Raisonnablement, nous nous tournons vers Jésus, en qui nous avons placé notre espérance. Nous nous souvenons de ses prophéties de la fin. Nous les relisons pour essayer de mieux les comprendre. "Il faut que ces choses arrivent, ce ne sont que le commencement des douleurs", a-t-il dit. Les douleurs de l'enfantement précédent la naissance d'un enfant. Et quand cela arrive, il n'y a pas moyen de reculer, ni de retourner en arrière. Écoutons Jésus : "Quand vous entendrez parler de guerres et de soulèvements, ne soyez pas effrayés, car il faut que ces choses arrivent premièrement. Mais ce ne sera pas encore la fin. Alors il leur dit : Une nation s'élèvera contre une nation, et un royaume contre un royaume ; il y aura de grands tremblements de terre, et, en divers lieux, des pestes et des famines ; il y aura des phénomènes terribles, et de grands signes dans le ciel" (Luc 21.9-11).
Où en sommes-nous ? Après la pandémie et la guerre en Ukraine, ne soyons pas étonnés que les rayons des magasins se vident partiellement. Prions pour qu'ils se remplissent à nouveau. Si des restrictions s'annoncent, il ne sera pas inutile de se cultiver un petit coin de jardin. Mais aussi, c'est peut-être pour nous, l'occasion de remettre notre foi en question. Il est sûrement plus facile de croire quand tout va bien, mais quand tout va mal, comment réagissons-nous ? Par la peur ? Jésus dit : "N'ayez pas peur" (Jean 6.20). Par l'angoisse de la disette ? Jésus dit : "Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu ; et toutes ces choses vous seront données par-dessus" (Mat 6.33). Par la crainte de n'avoir plus de quoi payer ? Dieu dit : "Je ne te délaisserai point, et je ne t'abandonnerai point" (Hé 13.5).
Dans toutes ces choses, le monde est aveugle devant la plus grande révélation de Dieu : l'arrivée de son royaume. Oh ! son adversaire est au courant, dans le ciel les démons tremblent au simple nom de Jésus-Christ ! Sur la terre, les peuples se meurent à cause de l'incrédulité et du manque de connaissance de la parole de Dieu. Notre civilisation est devenue semblable à celle du temps de Noé. C'est pourquoi, Dieu est obligé d'intervenir. Quand les moeurs se dégradent à l'extrême, il ne peut plus attendre. Jésus l'a dit d'une manière on ne peut plus claire : "Ce qui arriva du temps de Noé arrivera de même à l'avènement du Fils de l'homme" (Mat 24.37).
"Ordo ab chao" : l'ordre viendra du chaos. Ici, face au désordre des moeurs et au chaos général, Dieu intervient lui-même. Par sa venue, il y met un terme. C'est la fin des douleurs. L'enfant est là, c'est le royaume de Dieu. Il y a des réjouissances partout, dans le ciel et sur la terre. "Lorsqu'une femme accouche, elle éprouve de la tristesse parce que son heure de souffrance est venue, mais, lorsqu'elle a donné le jour à l'enfant, elle ne se souvient plus de la douleur à cause de sa joie d'avoir mis un enfant au monde" (Jean 16.21). Rappelez-vous, le petit enfant couché dans la crèche. C'est le même qui vient une deuxième fois, mais cette fois dans sa gloire ! "Une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père" (Jean 1.14). Rappelez-vous sa prédication qui sera confirmée par sa venue : "Dès ce moment, Jésus commença à prêcher, et à dire : "Repentez-vous, car le royaume des cieux est proche" (Mat 4.17). Et nous savons que ce qu'il dit arrive toujours !
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