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La fin des temps
Quand le prophète Daniel a appris par révélation ce qui allait arriver dans le monde à la fin des temps, il a été profondément choqué. Arrivé à la fin des explications des visions qu'il avait eues, il a dit : "Ici finirent les paroles. Moi, Daniel, je fus extrêmement troublé par mes pensées, je changeai de couleur, et je conservai ces paroles dans mon coeur" (Daniel 7.28). De même, lorsque nous recevons, par la lecture de la Bible et par l'éclairage du Saint-Esprit, ce qui va se passer bientôt sur la terre, nous sommes troublés, effrayés, comme Daniel. La fin des temps est une expression choquante parce qu'elle nous fait penser à la fin du monde, or ce n'est pas cela. Un besoin d'explication est nécessaire pour comprendre que la fin des temps n'est que la fin d'une période, celle de la grâce offerte par Dieu aux hommes de se repentir de leurs péchés en croyant au nom de Jésus-Christ. La parole éternelle dit : "Il n'y a de salut en aucun autre ; car il n'y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés" (Actes 4.12). La fin des temps a commencé, il y a deux mille ans, avec la venue du Saint-Esprit sur la terre. Le prophète Joël avait annoncé : "Dans les derniers jours, dit Dieu, je répandrai de mon Esprit sur toute chair" (Joël 2.28 et Actes 2.17). La venue de Jésus, avec sa mort, sa résurrection, son ascension dans le ciel, a permis la venue du Saint-Esprit, procédant à la fois du Père et du Fils : "Le jour de la Pentecôte, les disciples étaient tous ensemble dans le même lieu. Tout à coup il vint du ciel un bruit comme celui d'un vent impétueux, et il remplit toute la maison où ils étaient assis. Des langues, semblables à des langues de feu, leur apparurent, séparées les unes des autres, et se posèrent sur chacun d'eux. Et ils furent tous remplis du Saint Esprit" (Actes 2.1-4). À eux tous, les disciples forment le corps de l'Église de Jésus-Christ dont il est la tête. La fin des temps se terminera avec le départ du Saint-Esprit, lorsque le corps de cette Église de Jésus-Christ sera enlevé, et ne sera plus sur la terre (1 The 4.15-17). Après deux mille ans, nous sommes donc parvenus à la fin de la fin des temps. Le signe principal qui le confirme, qui est récent, et qui répond à la parole de Dieu (Mat 24.3), c'est la position d‘Israël dans le monde. Depuis 1948, l'état d'Israël est officiellement reconnu, ainsi que sa capitale, Jérusalem, depuis 2017 grâce à Donald Trump. Avant cela, Jésus ne pouvait pas revenir. Maintenant, il peut revenir à tout moment. Cependant, voici le dernier signe qui doit encore s'accomplir selon la Bible : "Que personne ne vous séduise d'aucune manière ; car il faut que l'apostasie soit arrivée auparavant, et qu'on ait vu paraître l'homme du péché, le fils de la perdition" (2 The 2.3). Quand nous verrons cet homme du péché confirmer un traité de paix entre Israël et les nations, alors l'enlèvement ne saura tarder. La Bible dit : "Il fera une solide alliance (il confirmera une alliance) avec plusieurs pour une semaine, et durant la moitié de la semaine il fera cesser le sacrifice et l'offrande ; le dévastateur commettra les choses les plus abominables, jusqu'à ce que la ruine et ce qui a été résolu fondent sur le dévastateur" (Daniel 9.27).

Quant à la fin du monde, elle aura lieu beaucoup plus tard, après le millenium (le gouvernement de Jésus sur la terre). La Bible en parle. L'apôtre Jean, qui a reçu la vision des choses qui doivent arriver et qui les a retranscrites pour nous dans le livre de l'Apocalypse, parle de la destruction de la terre actuelle et d'une nouvelle terre avec un nouveau ciel : "Puis je vis un grand trône blanc, et celui qui était assis dessus. La terre et le ciel s'enfuirent devant sa face, et il ne fut plus trouvé de place pour eux. Puis je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre ; car le premier ciel et la première terre avaient disparu, et la mer n'était plus" (Ap 20.11 et 21.1). Mais nous n'en sommes pas encore là. Nous n'en sommes qu'au temps de la fin, c'est-à-dire au temps qui précède d'abord l'enlèvement de l'Église, ensuite le retour de Jésus-Christ sur la terre. Être confronté à cette nouvelle provoque un trouble d'autant plus grand que vous prenez conscience de l'imminence de ces événements. Plus vous cherchez à comprendre les choses que nous avons vécues ces deux dernières années, plus vous vous apercevez que sous le voile de l'apparence se cache une réalité tragique. La marche du monde n'est pas livrée au hasard. Il y a effectivement un plan, un agenda, établi par un groupe de personnes élitaires plus ou moins mystérieuses et qui ont toutes en commun la particularité d'être contre l'incarnation du Christ. Ce sont les mondialistes. Ils sont comme Satan, ennemis de l'humanité et n'ont comme objectif que de la réduire à la soumission pour la contrôler à l'échelle mondiale, même au prix d'une dictature. Leurs méthodes sont secrètes et tendent à favoriser le numérique dans tous les domaines. Sur leur agenda, la pandémie était programmée pour 2020, ainsi que le vaccin et tout ce qui s'ensuit. Et ce n'est pas fini, le marquage des individus est programmé sur leur agenda pour 2030.

Pour prendre ses marques et ses dispositions dans ce monde en train de changer, il faut avoir un minimum d'informations authentiques sur ce qui se trame dans les coulisses de la politique, du pouvoir et des institutions diverses. Ce que nous voyons à travers les actes de nos dirigeants ne représentent que la partie visible de l'iceberg. Mais ils ne font qu'appliquer ce que leur dit les personnages dissimulés dans la face cachée de l'iceberg. Leur objectif est d'étendre un moyen de contrôle numérique grâce à un marquage dans le corps de chaque individu. Voilà ce que nous pouvons brièvement savoir de leur plan diabolique.

Mais ne nous étendons pas trop sur le système qui régit le monde, car si nous sommes de Dieu, nous savons que le monde entier est sous la puissance du malin (1 Jean 5.19). D'autre part, si nous sommes ressuscités avec Christ, Dieu nous demande de nous affectionner aux choses d'en haut et non à celles qui sont sur la terre (Col 3.2). Les choses d'en bas vous plongent dans la peur, tandis que les choses d'en haut vous libèrent, vous apaisent, vous remplissent de joie et d'espérance. Il faut surtout apprendre à écouter Dieu et non les hommes. Et il faut absolument apprendre à regarder à Jésus pour être sauvé.

Jésus, le Fils éternel de Dieu, a pris un corps pour sauver le monde. Cela n'a jamais plu à Satan, l'adversaire de Dieu, celui qui a fait chuter l'humanité dans le péché. Satan est l'ennemi de l'humanité, il veut qu'elle périsse. Mais Dieu qui est amour ne veut pas, il a donc envoyé son Fils dans le monde, et nous connaissons la suite : "Il a dépouillé les dominations et les autorités, et les a livrées publiquement en spectacle, en triomphant d'elles par la croix" (Col 2.14-15). La victoire de Jésus contre Satan est totale, mais… seulement pour ceux qui croient. Dieu l'a voulu ainsi parce qu'il est juste, et il justifie tous ceux qui croient, selon ce qui est écrit dans sa parole : "Le juste vivra par la foi" (Habacuc 2.4). Le diable est vaincu, mais Dieu le laisse en liberté pour un certain temps, le temps de permettre à l'humanité perdue de faire son choix en toute liberté. Si quelqu'un croit en Jésus et s'approprie sa victoire sur la croix, il est sauvé, délivré des griffes de Satan. Si quelqu'un ne croit pas en Jésus, il est perdu et demeure dans les griffes de Satan qui l'emmènera avec lui jusque dans l'étang ardent de feu et de soufre qui est la seconde mort (Ap 21.8).

À la fin des temps, ce n'est pas l'intelligence artificielle qui va gagner, mais le réel, le fruit de l'incarnation du Fils. Jésus est réellement venu dans le monde, dans un corps de chair semblable au nôtre, mais sans péché. Il n'est pas venu dans un corps virtuel qui n'aurait servi à rien. Sur la croix, Jésus a réellement souffert. Il s'est donné en rançon pour tous. Son sang pur parle plus que celui d'Abel, son sang pur est le prix qui nous sauve et qui nous introduit en permanence dans le tabernacle du ciel, où Jésus, souverain sacrificateur pour toujours, intercède pour nous.

La magnifique victoire de Jésus sur la croix a enlevé toute puissance à la bête, à Satan. Par la foi, approprions-nous cette victoire du Seigneur pour vaincre à notre tour les ennemis qui se mettront sur notre route. Restons dans la parole de Dieu, dans sa main. Jésus promet d'être avec nous en toutes circonstances, et combien en avons-nous besoin ! Il a dit : "Voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la fin du monde" (Mat 28.20).

Ecrit par alberto, le Samedi 30 Avril 2022, 11:37 dans la rubrique Dire Dieu.
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