Tout ce qui est écrit dans la Bible doit s'accomplir
Ceux qui font la guerre actuellement sont inexcusables. Ils n'ont rien appris des deux dernières guerres mondiales. Les mots nous manquent pour en décrire l'horreur. Pourtant, qu'a dit Jésus ? "Vous entendrez parler de guerres et de bruits de guerre". Et voilà qu'aujourd'hui, en cette belle saison printanière, des bruits courent et nous entendons parler de la troisième guerre mondiale. La raison aurait-elle quitté ceux qui en parlent ? Sont-ils conscients de ce qu'ils disent ? Une troisième guerre mondiale ne durerait pas longtemps puisque l'arme nucléaire serait déclenchée. Cela veut dire que beaucoup d'hommes politiques sont en train de jouer avec le feu (eux et leurs rapporteurs). Sont-ils sérieux ou sont-ils simplement comme des joueurs malheureux, comme tombés dans l'addiction à de mauvais jeux électroniques ? Qui a déjà vu l'horreur apocalyptique des nouveaux films de science-fiction ? Le destin de la planète tombée aux mains de démons moitié homme, moitié animal…
La réalité peut rejoindre la fiction dans la mesure où une goutte d'eau ferait déborder le vase. D'où l'évocation de guerre mondiale en parlant du conflit de la Russie avec l'Ukraine. Ainsi sont les risques face aux enjeux du monde actuel qui est en train de bouger, un peu comme les plaques tectoniques du globe, qui sont soumises à de gigantesques pressions. Ce sont les mouvements de ces plaques qui provoquent parfois de terribles tremblements de terre.
Qu'est-ce que Jésus a prophétisé ? En plus des bruits de guerres, Jésus a prophétisé de grands tremblements de terre. Il a dit : "Quand vous entendrez parler de guerres et de bruits de guerres, ne soyez pas troublés, car il faut que ces choses arrivent. Mais ce ne sera pas encore la fin. Une nation s'élèvera contre une nation, et un royaume contre un royaume ; il y aura des tremblements de terre en divers lieux, il y aura des famines. Ce ne sera que le commencement des douleurs" (Marc 13.7-8). Jésus parle des "douleurs de l'enfantement" qui sont irréversibles lorsqu'elles se déclenchent. Mais en même temps, il nous demande de ne pas être troublés. Alors ne soyons pas troublés. Mais pour arriver à calmer nos angoisses, nous avons besoin de porter notre regard sur Jésus, là où il est actuellement. Aucun homme ne peut nous le dire. Seule la Bible nous le révèle. Le troisième jour après sa crucifixion, le Père l'a ressuscité des morts et l'a fait asseoir à sa droite dans les lieux célestes : "au-dessus de toute domination, de toute autorité, de toute puissance, de toute dignité, et de tout nom qui se peut nommer, non seulement dans le siècle présent, mais encore dans le siècle à venir" (Eph 1.20-21). C'est devant ce Jésus glorifié que l'apôtre Jean fut invité à monter. Dieu a voulu lui faire voir ce qui doit arriver dans la suite des temps, et il lui a demandé d'écrire dans un livre tout ce qu'il a vu et entendu (le livre de l'Apocalypse qui veut dire "révélation"). Le livre décrit, à partir du chapitre quatre et jusqu'à la fin, l'intervention divine sur la terre. Cette intervention divine représente la colère de Dieu qui se déversera sur les nations à cause de leur incrédulité et qui couvrira la troisième guerre mondiale, laquelle durera sept ans, deux périodes de trois ans et demi. Cela vaut la peine de lire ce livre, le dernier de la Bible. Il se termine par le retour en gloire de Jésus-Christ sur la terre.
Par la foi, nous comprenons que cette troisième guerre mondiale n'arrivera qu'au temps marqué de Dieu. Mais ce temps est proche. Auparavant, pour éviter la destruction de la planète et pour mettre fin aux bruits de guerre que nous entendons, il faudra que les dirigeants mondiaux en place (au nombre de dix, selon la Bible) s'accordent pour traiter une alliance de paix, mais une paix fragile. C'est ici que Dieu nous donne le dernier signe à observer avant le commencement de la dernière guerre mondiale : "Il (l'antichrist) fera (confirmera) une solide alliance" (Daniel 9.27). Une autre parole dans le Nouveau Testament vient s'harmoniser : "Quand les hommes diront : Paix et sûreté ! alors une ruine soudaine les surprendra, comme les douleurs de l'enfantement surprennent la femme enceinte, et ils n'échapperont point" (1 The 5.3).
Maintenant, la meilleure chose à faire est d'apprendre à regarder à Jésus, ce Jésus qui a marché sur la terre durant environ trente-trois ans, et qui est maintenant dans le ciel.
Si Jésus n'avait fait qu'enseigner sans faire de miracles, aurait-il été crédible ? Il parlait comme aucun homme n'a jamais parlé, mais peut-être qu'à la longue, sans les miracles de guérison, les gens s'en seraient lassés ! Reconnaissons qu'avec un brin de bonne volonté, la parole annoncée trouve toujours son application dans la vie pratique. Mais est-ce que cela suffit ? Non, parce que la parole a toujours besoin de son accomplissement. Quand on a faim, on veut manger. Quand on est malade, on veut guérir. En réalité, quand un malade reçoit sa guérison par la foi, c'est l'accomplissement de la parole qui se produit. Quand Dieu a dit "Que la lumière soit", sa parole eut son accomplissement : "Et la lumière fut". On n'imagine pas le contraire. On comprend que si Jésus n'avait pas confirmé sa parole par des miracles, elle n'aurait pas eu l'impact qu'elle a eu jusqu'à ce jour. La parole elle-même s'en trouve confirmée : "Il chassa les esprits par sa parole, et il guérit tous les malades, afin que s'accomplît ce qui avait été annoncé par Ésaïe, le prophète : Il a pris nos infirmités, et il s'est chargé de nos maladies" (Mat 8.16-17). Tout ce qui est écrit dans la Bible doit s'accomplir.
Lorsque nous observons le ministère terrestre de Jésus, nous le voyons d'abord enseigner, ensuite faire des miracles. "Et ils s'en allèrent prêcher partout. Le Seigneur travaillait avec eux, et confirmait la parole par les miracles qui l'accompagnaient" (Mat 16.20). Les disciples ont adopté ce même principe. Il est même très intéressant de constater avec quelle puissance les apôtres glorifiaient leur Seigneur : "Beaucoup de miracles et de prodiges se faisaient au milieu du peuple par les mains des apôtres. Ils se tenaient tous ensemble au portique de Salomon, et aucun des autres n'osait se joindre à eux ; mais le peuple les louait hautement. Le nombre de ceux qui croyaient au Seigneur, hommes et femmes, s'augmentait de plus en plus ; en sorte qu'on apportait les malades dans les rues et qu'on les plaçait sur des lits et des couchettes, afin que, lorsque Pierre passerait, son ombre au moins couvrît quelqu'un d'eux. La multitude accourait aussi des villes voisines à Jérusalem, amenant des malades et des gens tourmentés par des esprits impurs ; et tous étaient guéris" (Actes 6.12-16).
Pourquoi n'y a-t-il pas, de nos jours, de semblables communautés comme celle des apôtres où "tous étaient guéris" ? Pourtant, la promesse de Dieu de confirmer sa parole par des miracles demeure toujours de nos jours. À nous de cultiver notre foi pour que nous apprenions à vivre non par la vue, mais par la foi. J'ai besoin de développer en moi cette volonté de croire. Pour cela, je me sers de la parole de Dieu. J'ai besoin de la lire et de l'entendre. La foi vient de ce qu'on entend, et ce qu'on entend vient de la parole de Christ. "C'est par la foi que nous reconnaissons que le monde a été formé par la parole de Dieu, en sorte que ce qu'on voit n'a pas été fait de choses visibles" (He 11.3). Même chose pour la guérison des maladies. La guérison est d'abord acquise dans le monde spirituel, et avec la foi, elle vient se manifester dans le corps. Tous les malades qui venaient à Jésus étaient tous guéris parce qu'ils croyaient tous qu'il était capable de le faire. Alors il leur disait : "Va en paix, ta foi t'a guéri". Comme eux, quel que soit notre cas, si nous sommes malades ou dans l'angoisse, laissons-nous rassurer par sa Parole et mettons notre foi en Christ qui nous a acquis, sur la croix, avec le pardon des péchés, la pleine guérison de nos maladies, et attendons patiemment la confirmation de sa parole en nous.
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