Joueb.com
Envie de créer un weblog ?
Soutenez le Secours populaire
ViaBloga
Le nec plus ultra pour créer un site web.
Débarrassez vous de cette publicité : participez ! :O)

Il a fallu qu’un jour Dieu fasse l’homme !

“Cherchez et vous trouverez, frappez et l’on vous ouvrira”
Session
Nom d'utilisateur
Mot de passe

Mot de passe oublié ?

© Alberto
© Photos et textes. Tous droits réservés.
Recherche

Archive : tous les articles
Le jour où Jésus reviendra, le malin ne sera plus.
En ces temps spéciaux, il y a une grande mise en garde qui s'opère au coeur des croyants. Le Saint-Esprit qui les conduit dans toute la vérité les pousse dans un retranchement pour un ressourcement, à l'image des disciples rassemblés dans la chambre haute, et auxquels Jésus avait donné l'ordre d'attendre et de ne pas en sortir avant la venue de ce qui leur avait promis : le consolateur, le Saint-Esprit. Lorsqu'il dit : "Sans moi vous ne pouvez rien faire" (Jean 15.5), il veut dire aussi : "Sans le Saint-Esprit, vous ne pouvez rien faire". Certes, on peut faire beaucoup de choses sans le Saint-Esprit, mais ce seront des oeuvres mortes qui brûleront le jour où elles seront manifestées et éprouvées par le feu. C'est pourquoi Dieu nous demande d’y renoncer (Hébreux 6.1). Périodiquement, et à l'image du vigneron, le Seigneur taille les sarments de sa vigne : "Tout sarment qui est en moi et qui ne porte pas de fruit, il le retranche ; et tout sarment qui porte du fruit, il l'émonde, afin qu'il porte encore plus de fruit" (Jean 15.2). Cela arrive lorsque Dieu travaille en profondeur dans le coeur de ses disciples. Il ordonne une coupure avec le monde pour opérer une plus grande intimité avec lui. Il peut y avoir plusieurs phases, comme pour Elie, le prophète : "Et la parole de l'Éternel fut adressée à Élie, en ces mots : Pars d'ici, dirige-toi vers l'orient, et cache-toi près du torrent de Kerith, qui est en face du Jourdain. Tu boiras de l'eau du torrent, et j'ai ordonné aux corbeaux de te nourrir là" (1 Rois 17.2-4). Puis une seconde phase : "Mais au bout d'un certain temps le torrent fut à sec, car il n'était point tombé de pluie dans le pays. Alors la parole de l'Éternel lui fut adressée en ces mots : Lève-toi, va à Sarepta, qui appartient à Sidon, et demeure là. Voici, j'y ai ordonné à une femme veuve de te nourrir" (1 Rois 17.7-9). Elie fut reçu comme un hôte par cette femme. Mais pendant cette période, le fils de la femme veuve tomba malade et mourut. Alors Dieu manifesta sa puissance à travers son serviteur Elie. Celui-ci le porta dans sa chambre haute où il demeurait. Après avoir prié , il s'étendit trois fois sur l'enfant, demandant que son âme revienne au dedans de lui. "L'Éternel écouta la voix d'Élie, et l'âme de l'enfant revint au-dedans de lui, et il fut rendu à la vie" (1 Rois 17.22).

Cette période, pendant laquelle il n'y eut pas de pluie, dura trois ans et six mois. C'est exactement le temps de chacune des deux tribulations de la fin : d'abord une tribulation moyenne, le temps à l'antichrist de préparer le gouvernement mondial, suivie d'une grande tribuation où il exercera son pouvoir totalitaire avec la puissance de Satan, jusqu'à s'asseoir dans le temple reconstruit à Jérusalem. Ce qui provoquera le retour triomphal de Jésus-Christ et le début de son règne de mille ans. Le Nouveau Testament juge bon de nous rappeler ces faits : "Élie était un homme de la même nature que nous : il pria avec instance pour qu'il ne plût point, et il ne tomba point de pluie sur la terre pendant trois ans et six mois. Puis il pria de nouveau, et le ciel donna de la pluie, et la terre produisit son fruit" (Jacques 5.17-18).

Qui ne croit pas encore à l'existence du Seigneur Jésus ? Il est assis à la droite de Dieu et il dirige le monde entier ? Qui ne croit pas encore ce qui est écrit dans la Bible, le livre saint, inspiré directement par Dieu ? Jésus, qui est un avec tous les écrits bibliques, a dit : "Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point" (Mat 24.35). Il n'y a rien de plus sûres et vraies que les paroles qui sortent de la bouche du Fils, dont l’union avec le Père est parfaite. "Moi et le Père nous sommes un" (Jean 10.30). Il est toujours intéressant de constater dans la vie de Jésus la manière dont il agissait. Quel contraste entre l'individualisme de l'homme terrien qui agit de lui-même et Jésus qui fait uniquement ce que le Père lui dit de faire et qui parle selon ce que le Père l'a enseigné ! "En vérité, en vérité, je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de lui-même, il ne fait que ce qu'il voit faire au Père ; et tout ce que le Père fait, le Fils aussi le fait pareillement" (Jean 5.19). Combien avons-nous besoin de l'enseignement de Jésus ! Chaque vie a ses changements. Pour tout disciple consacré, vient un jour le moment où il est appelé à se détacher des commodités usuelles d'une vie chrétienne sécurisante avec une assemblée et un pasteur, pour ne dépendre que du Seigneur Jésus-Christ seul. De même que Jésus ne dépendait que de son Père, nous ne devons dépendre ni des hommes ni de l'Etat, mais du Seigneur Jésus seul. "Car en lui habite corporellement toute la plénitude de la divinité. Vous avez tout pleinement en lui, qui est le chef de toute domination et de toute autorité" (Col 2.9-10).

Le perfectionnement des saints auquel Dieu nous appelle ne se fait pas du jour au lendemain. Cela nécessite de nombreuses périodes, ou saisons, qui nous permettent de grandir dans la foi et de mûrir.

Comme Moïse, demandons à Dieu qu'il nous enseigne à bien compter nos jours, afin que nous appliquions notre coeur à la sagesse (Ps 90.12). Attendons-nous à la puissance de Christ qui est toujours fidèle pour confirmer sa parole. Il répondra à nos prières selon notre foi. Si Dieu s'est engagé dans une promesse à ton égard, elle s'accomplira, car Dieu n'est pas un homme pour mentir. Si l'accomplissement de la promesse tarde, attends-la. "L'Éternel m'adressa la parole, et il dit : Écris la prophétie : Grave-la sur des tables, afin qu'on la lise couramment. Car c'est une prophétie dont le temps est déjà fixé, elle marche vers son terme, et elle ne mentira pas ; si elle tarde, attends-la, car elle s'accomplira, elle s'accomplira certainement" (Habacuc 2.2-3). C'est par notre foi qu'elle s'accomplira. Quelle est la qualité de notre foi ? Sommes-nous assez persévérants dans l'attente ? Ne perdons pas courage surtout ! Nous sommes dans un temps de formation par lequel Dieu ne souhaite pas nous voir en train de perdre courage, mais au contraire, de prendre courage. Rappelons-nous qu'il est un Père d’amour qui tend constamment sa main à ses enfants. Il s'adresse à ses disciples comme autrefois à son serviteur Josué face à la conquête de Canaan, le pays promis où coulent le lait et le miel : "Ne t'ai-je pas donné cet ordre : Fortifie-toi et prends courage ? Ne t'effraie point et ne t'épouvante point, car l'Éternel, ton Dieu, est avec toi dans tout ce que tu entreprendras" (Josué 1.9). Il faut méditer la parole de Dieu et la garder dans son coeur. C'est de la parole et de son application que dépend notre avancement spirituel. Celui qui néglige la lecture biblique se trouvera bloqué dans une marche charnelle et sera désarmé devant l'ennemi dont il sera la proie facile. N'hésite pas à lâcher prise de tout ce qui te retient encore et à recommander ton sort au Seigneur Jésus en lui faisant confiance et il agira. Le Saint-Esprit est là pour éclairer ton sentier. L'obéissance à sa parole déterminera la qualité de ta vie de disciple. "Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples ; vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres" (Jean 8.31-32). C'est cette liberté, selon la nouvelle nature que Dieu nous a donnée, qui nous permet de nous défaire de notre propre justice, de notre égoïsme, de l'attirance des choses du monde, pour atteindre le véritable but de l'existence. Mais l'obéissance précède cette liberté. Par exemple, si tu décides d'appliquer l'ordre de Dieu de te faire baptiser, tu es dans l'obéissance. Sachant, cependant, que dans toutes ces choses, le Créateur respectera toujours le libre arbitre qu'il a donné à ses créatures.

L'un des plus grands cadeaux que Dieu puisse donner à l'homme, en plus du don de son Fils, est le temps qu'il lui accorde pour se repentir. C'est cette générosité qui retarde la venue de Jésus, comme Pierre a tenu à le souligner : "Mais il est une chose, bien-aimés, que vous ne devez pas ignorer, c'est que, devant le Seigneur, un jour est comme mille ans, et mille ans sont comme un jour. Le Seigneur ne tarde pas dans l'accomplissement de la promesse, comme quelques-uns le croient ; mais il use de patience envers vous, ne voulant pas qu'aucun périsse, mais voulant que tous arrivent à la repentance" (2 pierre 3.8-9).

Mais au lieu de se repentir, que font les hommes du temps précieux qui leur est offert ? Ils font la guerre ! Par leur incrédulité, ils ne connaissent pas la paix et deviennent meurtriers comme leur père est meurtrier. Durant tout son ministère terrestre, Jésus a dû faire face à ce genre d'incrédules qui ne voulaient rien entendre de ses discours et qui voulaient le tuer : "Pourquoi ne comprenez-vous pas mon langage ? Parce que vous ne pouvez écouter ma parole. Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fonds ; car il est menteur et le père du mensonge. Et moi, parce que je dis la vérité, vous ne me croyez pas" (Jean 8.43-45). C"est ainsi que le monde entier est sous la puissance du malin. Mais plus pour très longtemps, puisque nous sommes arrivés à la dernière heure. Le jour où Jésus reviendra, le malin ne sera plus.

Ecrit par alberto, le Mardi 7 Juin 2022, 16:20 dans la rubrique Dire Dieu.
Repondre a cet article


Version  XML  - Cette page est peut-être encore valide XHTML1.1 et CSS sans tableaux.


Ce site est référencé sur le
Top Chrétien Francophone