© Alberto
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La brume sur Paris
La brume sur Paris
Rôde comme un bandit
Dès que passe novembre (bis)
Elle déchire d’un doigt
Sa robe d’apparat
Qui s’éffeuille et qui tombe (bis)
La brume sur Paris
Paris qui fait serment
De la garder l’automne
En l’absence de pluie
De la pluie monotone
Ell’ restera sûr’ment
La brume je l’ai vue
Je l’ai vue caresser
Les maisons une à une (bis)
Au fond d’une clairière
Je l’ai vue s’abaisser
Sur des restes en pierre (bis)
Des restes de Paris
Comme on en voit souvent
Qui s’en vont en poussière
Regardez-les sans bruit
Renaître de la terre
Renaître nos tourments
La brume sur Paris
La brume sur la vie
Sur le coeur de novembre (bis)
Elle me suit pas à pas
Elle m’entraîne là-bas
À l’ombre d’une tombe (bis)
La tombe d’une amie
Qui m’a donné son nom
En me donnant la vie
Pleure pleure la vie
Pleure pleure la vie
Pleure pour toi maman
La brume sur Paris
Ce matin a trahi
Son bel ami novembre (bis)
Un rayon de soleil
Se jouant bien d’elle
A dessiné des ombres (bis)
Les ombres de Paris
Qu’on avait oubliées
Du lundi au dimanche
Les ombres d’un été
Renaissent sur les branches
Renaissent de l’oubli
©Guy Marchal (archives)
Il arrive qu’en novembre on se souvienne... Cela m’est arrivé il y a quelques années. Je ne sais pas s’il pleut à Paris aujourd’hui ! Peu importe. Je dédie ces lignes à tous ceux qui se souviennent, à tous ceux qui pleurent, à tous ceux qui cherchent une consolation, en leur disant... non, en ne disant rien, simplement : Jésus est là !
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c'est vraiment un joli texte... bravo.