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Il a fallu qu’un jour Dieu fasse l’homme !

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Partir, oui mais pas seuls
--> A qui faire confiance ?


Je suis d’accord avec celles et ceux qui ont décidé de jouir de la vie, de la croquer à pleines dents ! “Il faut que jeunesse se passe” disaient nos grands-parents avec un haussement d’épaules. Aux premières expériences de la vie succèdent d’autres expériences. On ne devient pas un être accompli en maturité d’un seul coup de baguette magique. La pomme, si belle à croquer, n’a pas poussé ni mûri en un jour. Il a fallu que quelqu’un plante un arbre, s’en occupe un certain nombre d’années, jusqu’à ce que le printemps, à son tour, le fasse fleurir pour qu’enfin, à la bonne saison, il donne son fruit. La vie est faite de saisons, de bonnes et de moins bonnes.

Partir, c’est mourir un peu

Qu’est-ce que naître ? Un jour de naissance reste toujours synonyme de réjouissance même si le bébé qui voit le jour commence par crier en éprouvant sa première souffrance. La naissance est déjà un départ, un départ vers quelque part, vers l’inconnu, vers un port d’arrivée. En effet, s’il y a un départ pourquoi n’y aurait-il pas une arrivée, puisque dès la naissance s’enclenche le compte à rebours de nos jours ? Cette pensée peut nous glacer ! Nous naissons et nous mourons ! Très peu de gens pensent à leur naissance et à leur mort. Nous sommes davantage préoccupés par les choses de la vie quotidienne. Le quotidien mobilise nos forces et notre temps. Jeunes et moins jeunes, hommes et femmes, ce n’est pas sans peine que nous nous frayons un chemin dans la société ! Quelle lutte nous faut-il engager chaque jour pour arriver à faire notre place au soleil ! Qu’il faut “ramer”,pour ne pas dire “galérer”, avant d’apercevoir une lueur d’espoir ! Et même si les places sont chères ou déjà occupées, nous y croyons quand même. Du moins... nous essayons d’y croire car nous n’avons pas le choix, il faut vivre !

Partir à tous les âges

Quel que soit l’âge, pour partir il faut quitter quelque chose, il faut larguer des amarres. C’est un lieu aimé que l’on quitte, une patrie (le ventre de la mère constituait la première patrie du bébé). Plus tard, il y aura l’enfance à quitter pour partir vers l’âge adulte. Il y aura les parents à quitter... Ou encore ce sont les belles années de la jeunesse où tout est possible, où bon an mal an, nous refaisons le monde. Quel bel âge ! Puis vient un âge où nous nous apercevons tout d’un coup que notre jeunesse est “derrière”. C’est l’âge où, chaque matin devant le miroir, nous guettons les rides et les cheveux gris. Difficile d’accepter cette nouvelle condition. Quitter sa jeunesse n’a vraiment rien de réjouissant. Qui peut se réjouir de vieillir ? En plus, société oblige, notre monde n’accepte pas la vieillesse ! Alors, tel un bateau solidement amarré, nous restons accrochés à nos chaînes. Inconsciemment, nous restons à quai. Le plus souvent, nous mettons même toute notre énergie à consolider les chaînes qui nous retiennent, de peur qu’elles ne se cassent ! Oui, pour ne rien quitter de notre jeunesse, nous sommes prêts à faire appel aux plus grands spécialistes, à la science, à la médecine, à tous les génies de la terre et de l’univers... Sans réaliser que nous nous opposons à une réalité naturelle inexorable, au processus de vieillissement de notre être, qui précède la mort.

Qu’est-ce que mourir ? Un jour de deuil reste toujours synonyme de tristesse, parce qu’un être aimé a disparu. Pour se réjouir, il faudrait être sûr que la mort ne soit pas une fin en soi et savoir exactement si elle ne contiendrait pas un signe d’espérance ? Ce qui est sûr, c’est que la mort est une arrivée. Par ignorance et par manque de foi, nous jouons avec elle un jeu dangereux. À moins d’être suicidaire, personne n’est assez stupide pour se diriger volontairement vers la mort. Sauf ceux qui n’ont plus rien à perdre et qui quittent tout pour tenter de réaliser leur rêve d’Occident : les boat people, (insoutenables visions). Quant aux aventuriers, ils n’hésitent pas à partir seuls. Partent-ils à la découverte d’eux-mêmes ou d’une autre terre ? Ou Partent-ils uniquement pour remporter une victoire ? Le Vendée Globe, la fameuse course en solitaire autour du monde, sans escale et sans assistance, nous montre ces héros, hommes et femmes, qui ne reculent devant aucun élément. Certains, hélas, ne passent jamais la ligne d’arrivée.

Partir, oui mais où ?

Nous avons tous un début et une fin. Notre existence est unique et ressemble à une épopée située entre notre naissance et notre mort, comme si nous avions tous un départ et une arrivée, comme si nous naviguions dans une embarcation plutôt frêle, affrontant toutes sortes de marées, d’éléments, tantôt calmes, tantôt déchaînés, avec des hauts et des bas, accompagnés de joies ou de frissons. Sommes-nous seuls dans cette barque ? Sommes-nous sûrs de bien gouverner ? Sommes-nous sûrs d’avoir le bon cap ? Sommes-nous sûrs d’arriver au bon port et dans de bonnes conditions ? Sommes-nous sûrs que nous aurons assez de force pour aller jusqu’au bout ?... Finalement, ce qui nous submerge, ce sont les questions sans réponse. Si telle est notre condition, c’est que nous naviguons sans but et dans la plus complète ignorance de l’existence de Dieu. Ne nous étonnons pas de courir un grand risque de naufrage ! Un marin ne partirait jamais sans ses instruments de navigation (des instruments ultra modernes) ! Dieu, lui, nous a laissé la Bible pour nous orienter, pour nous donner un but ainsi que la victoire sur la ligne d’arrivée. La Bible nous révèle que la mort n’est pas une fin, mais qu’au contraire, elle donne libre accès dans le paradis de Dieu à tous ceux qui croient en Jésus-Christ. Elle précise toutefois que, comme Jésus est ressuscité, il y aura une résurrection de tous les morts, afin qu’un jugement équitable soit exercé entre ceux qui auront cru et ceux qui n’auront pas cru. Nous pouvons réfléchir, lire la Bible, écouter les Evangiles. La question maintenant demeure en notre âme et conscience : accepterons-nous de faire confiance à Jésus ?
Je peux continuer à gouverner seul(e) ma barque. Je peux aussi inviter Jésus à y monter avec moi et lui confier le gouvernail de ma vie. C’est de loin la meilleure solution, celle choisie depuis des années par celui qui vous parle.

Guy Marchal

Dieu a dit : “Je bénis celui qui met sa confiance en moi et cherche en moi sa sécurité”.
(La Bible : Jérémie 17.7)


Ecrit par alberto, le Dimanche 27 Octobre 2013, 12:58 dans la rubrique Dire Dieu.
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