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Il a fallu qu’un jour Dieu fasse l’homme !

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La communication qui sauve

« Dieu a envoyé son Fils comme Sauveur du monde » (1). Voilà une information claire, compréhensible pour tous. Mais pourquoi la communication ne passe-t-elle pas ? Pourquoi les hommes ne la reçoivent-ils pas ? Ça ne passe pas. C’est audible, le cerveau l’enregistre, mais sans plus. La réception au niveau de la conscience ne se fait pas. Y aurait-il quelque chose de défectueux dans l’être humain à l’endroit du cœur ? à l’endroit des battements ? Un endroit bien compliqué si l’on en juge par l’exemple des chirurgiens pratiquant les transplantations cardiaques. Mais ces chirurgiens sauvent des vies, nous le savons.

Que savons-nous au juste ?
Dieu a-t-il envoyé son Fils pour nous sauver à la manière des chirurgiens spécialistes des transplantations cardiaques ? Oui, si l’on en juge par la Parole de Dieu : « J’ôterai de votre corps le cœur de pierre, et je vous donnerai un cœur de chair » (2).
Une chose est sûre : transplanter un cœur n’est pas une partie de plaisir. La routine et le progrès n’ont pas supprimé la gravité d’une telle opération. Actuellement, de nombreux malades cardiaques attendent une transplantation. Ils attendent un donneur et cette opération comme une dernière chance de salut. Qui ne voudrait pas vivre ! Certes la science travaille sur le cœur artificiel. La science, c’est à dire l’homme, travaille sur bien d’autres projets et dans bien d’autres domaines pour sauver l’homme, ou pour le faire mieux vivre. Nous en sommes tous reconnaissants. Ne pas voir de grandeur dans ce dessein serait injuste. Mais quelle tâche difficile que la tâche de l’homme en proie à se sauver lui-même ! L’homme, le sauveur de l’homme ! Faut-il y croire ?

Prenons le cas d’un malade qui vient d’être transplanté. La providence lui a attribué un donneur (une victime des accidents de la route peut-être) et l’opération a réussi. Est-il sauvé ? Oui. En tout cas, c’est ce que l’on dit si l’opération a réussi. Les exemples ne manquent pas pour nous montrer de telles réussites.

La transplantation d’organe permet donc de prolonger la vie. Elle sauve l’homme d’une mort prématurée mais pas de la mort qui, elle, est inéluctable. C’est en écho à cette fatalité de la mort que la science fait des prodiges. Tout le génie de l’homme n’est-il pas voué, pour le meilleur ou pour le pire, au combat pour la survie sur la planète ?

L’homme finira-t-il un jour par régler tous les problèmes d’ici-bas ? A-t-il une chance de s’en sortir par lui-même ? Les plus pessimistes finissent par y croire. II faut vivre ! Et « l’espoir fait vivre » dit le proverbe. Mais alors pourquoi cette promesse de Dieu annoncée par le prophète Ezéchiel: « Je vous donnerai un cœur nouveau »
(2)? Pourquoi cette information, on ne peut plus claire, de l’apôtre Jean : « Le Père a envoyé son Fils comme Sauveur du monde » (1)? Le monde est-il perdu ? Avons-nous besoin d’un nouveau cœur ? Si oui, dans ce cas, nous sommes pour ainsi dire, des « receveurs », et Dieu est le « donneur ». Comment cela peut-il se faire ?

Arrivés à ce point, nous ne pouvons que constater nos limites humaines de compréhension. Notre esprit, notre intelligence, notre savoir, notre imagination nous sont d’un grand secours, et même ce que nous ressentons. Mais les choses ne s’éclairent pas pour autant. Nous butons contre quelque chose qui ressemble à un mur. Parler de choses physiques paraît finalement facile. Parler de Dieu paraît plus compliqué, parce que, apparemment, il y a incompréhension. De plus, c’est le domaine de l’irrationnel, celui de l’âme, de l’esprit, des choses invisibles. Alors que faire ? Se replier sur soi et croire en l’homme, ou alors ... -et c’est là que ça se passe, à l’intérieur, profondément, peut-être à l’endroit du cœur- s’ouvrir à l’information de Dieu.

Question de réception
S’ouvrir à l’information de Dieu signifie croire en sa Parole. En échange de ce premier pas, Dieu accorde son Esprit afin que son information (sa Parole) s’éclaire et soit confirmée comme telle, c’est à dire authentique. Nous prenons alors conscience -seulement à ce moment là- de notre condition d’homme pécheur, d’homme perdu. L’Esprit de Dieu nous convainc de péché. Si le cœur est malade, tout le corps est malade. Et nous comprenons qu’il s’agit plus que du corps physique. Notre âme est aussi atteinte par le péché. Les maladies, les désordres de notre planète, la mort, sont les conséquences du péché. C’est pourquoi Dieu a depuis longtemps établi et mis en pratique son plan de sauvetage. Il l’a voulu ainsi en un acte d’amour consigné par l’Evangile.Il sait que tous les efforts et la meilleure volonté ne suffiront jamais à ses créatures pour se sauver d’une perdition dont elles n’ont pas conscience.

Le renouveau commence dès lors que nous renonçons à vouloir nous mesurer indéfiniment avec Dieu. Nous ne perdons pas pour autant notre savoir, notre intelligence, notre acquis. Au contraire, nous avons tout à gagner si, en un acte de foi, et individuellement, nous décidons de faire le premier pas de nous ouvrir à Celui qui a envoyé son Fils pour nous sauver.

La communication passe-t-elle ?
Si vous vous voyez humblement comme « receveur », alors vous verrez aussi votre « donneur», Jésus-Christ qui s’est donné lui-même en rançon pour tous, et qui nous a rachetés par son sang précieux (3). Recevez-le, et vous serez sauvé. La vie éternelle, alors, commencera pour vous.
(alberto)

Ces références se trouvent dans la Bible:
(1)1 Jean 4, 14
(2) Ezéchiel 36, 26
(3) 1 Timothée 2, 6 et 1 Pierre 1, 19


Ecrit par alberto, le Lundi 17 Septembre 2007, 12:07 dans la rubrique Dire Dieu.


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