Les belles années passent vite
Faut-il donc que la vie soit ainsi, comme quelque chose, une denrée, à consommer ! Une belle et bonne denrée.
Qui n’a pas connu dans notre beau pays de France, de ces repas de communion, de mariage, ou autre, inoubliables, en habit du dimanche, de fête - ou même en salopette. De la table super-bien mise au modeste coin d’établi, il n’y a souvent qu'un pas. Ou sur l’herbe. Une fringale apaisée au bord de l’eau, au jambon-beurre, peut laisser quelquefois des souvenirs aussi inoubliables que dans un 4 étoiles. Les êtres sont si différents les uns des autres ! Chacun porte en soi son propre trésor de consommation. Des paquets de joie, de rire uniquement ? Sûrement pas ! Ces choses vécues sont enrobées de combien de souffrances ? de combien de peines ? Il y a des rides de joie et des rides de souffrances. Il y a, en un mot, les rides. Il y a le temps qui, partout, marque son passage. Rien n’est épargné : la nature, l’homme. Tout ce qu’il y a sous le soleil. « Ah, pourquoi ? » avons-nous soupiré au moins une fois dans notre vie. « Ah, si le temps s’arrêtait... » N’est-ce pas le souhait secret de nos 20 ans, ou de nos 30 ans ?
Puis les années, tombant en avalanches, nous ont incités à regarder inéxorablement ailleurs, et à préférer l’âge mûr. « Il faut s’y faire ! », dira-t-on. La vie se consume. Tel un feu de forêt qu’aucun Canadair n’arrive à circonscrire. L’issue finale, c’est la mort. Pour ne prendre en exemple que les feux de forêt, la France entière a vu les images de ces étendues calcinées - autrefois si vertes, de ces villages détruits - autrefois si accueillants, et de cette foule en fuite dans l’enfer de fumée. Voyez également ce couple de retraités debout au milieu de 4 pans de murs délabrés, au milieu de ce qui était leur maison, un nid douillet pour les vieux jours. Devant ces images, comment ne pas être pris de compassion, mais aussi de réflexion… Et combien d’autres drames cet été !
Les belles années passent vite ! Tôt ou tard, une ride, un cheveu blanc apparaît dans notre miroir. Tôt ou tard, de toute manière, les amis, les proches ne manquent pas d’en faire état. Oui, tôt ou tard, un feu ou quelque séisme assiège notre territoire, notre maison, notre vie. Maladie, accident, conflit, crise. . .
Qu’adviendra-t-il de moi à la fin ? Est-ce que, comme dans les incendies il ne restera de moi que des cendres ? « Tu es fait de poussière, et tu retourneras à la poussière » (Genèse 3.19). Comme c’est angoissant ! Est-ce ainsi que va ma destinée vers ce terme ? Dans la terre ? dans la terre ? dans la terre ? Et rien d’autre ?…
On comprend pourquoi certains grands esprits -et de moins grands- parlent de l’absurdité de l’existence. Hélas, c’est dans la méconnaissance de Dieu qu’ils parlent ainsi. Si nous sommes séparés de Dieu, nous ne pouvons pas avoir l’espérance concrète de la vie éternelle. Notre existence, dans ce cas, a en effet quelque chose d’absurde. Nous nous en rendons compte à travers la réflexion.
Séparés de Dieu ?
La Bible confirme cette réalité en précisant la cause : « Tous ont péché et sont privés de la présence glorieuse de Dieu. » (Romains 3.23)
Sauvés !
Heureusement, cette terrible situation, Dieu l’a changée, il y a déjà bien longtemps, en intervenant lui-même.
Il est venu sur la terre dans la personne de son Fils : Jésus-Christ. En mourant sur la croix pour notre péché et en ressuscitant ensuite, Jésus-Christ ouvre la voie pour nous tous en nous donnant un présent et un avenir et l’espérance de la vie éternelle. La Bible confirme cette réalité : « Mais Dieu, dans sa bonté, les rend justes à ses yeux, gratuitement, par Jésus-Christ qui les délivre du péché.» (Romains 3,24)
Tout est donc prêt pour nous tous. Personne n’est exclu. Mais qui va croire ? Car faut-il encore, pour être sauvé, accepter ce que dit la Bible !
Cher lecteur, soyez de ceux-là pour être sauvé, de ceux qui croient et ont la véritable espérance de la vie éternelle. Alors, si les belles années passent vite, cela n’est plus si grave.
©Alberto
Vérifiez vous-mêmes dans la Bible :
« Tous ont péché et sont privés de la présence glorieuse de Dieu. » (Romains 3.23)
« Mais Dieu, dans sa bonté, les rend justes à ses yeux, gratuitement, par Jésus-Christ qui les délivre du péché. » (Romains 3.24)
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Chemins
La beauté des chemins, elle est dans les courbes où Dieu m'a rejointe, et m'a portée.
Merci Alberto, et amical salut!
Que tes "campagnes" actuelles et futures soient fructueuses, auprès de ceux qui t'entourent, de ceux vers qui tu es envoyé, et avec LUI, toujours.