Il a fallu qu’un jour Dieu fasse l’homme !

Pleurer… il suffit d’entendre une chanson nostalgique. Rien que quelques mots sur quelques notes suffisent à déclencher une émotion qui nous transporte et nous rappelle un bout de notre histoire qui s’est passée dans le temps, hier. Hier… et nous sommes aujourd’hui ! Un souvenir, un bonheur vécu, un amour… qui nous font peut-être parfois verser quelques larmes. « J’ai été, je suis et je ne serai plus ». Il faut s’y faire ! Je comprends ceux qui se débinent, se rendent insensibles, se bouchent les oreilles ou fuient avec véhémence une certaine réalité. Comment leur en vouloir ? A n’en pas douter qu’ils trouvent la vie trop souvent laide plutôt que belle ! Il n’y a sans doute que le poète qui peut encore chanter aujourd’hui « C’est beau la vie » comme le chantait autrefois Jean Ferrat.
 
Sourire… alors comment sourire à la vie ? Heureusement, beaucoup sont heureux de se lever le matin ! Je suis de ceux-là, même si je peste contre les feux qui sont toujours au rouge, même si le spleen marque toujours mon caractère, et même si je me lève du pied gauche... (il vaut mieux se lever du pied gauche que pas du tout !).

Je ne pleure pas uniquement : je serais désespéré ! Je ne souris pas uniquement : je serais inconscient ! Je pleure et je souris. Mais pour une seule raison : « J’ai été, je suis, et je serai ».

Grâce à Jésus et à sa parole :  « Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, même s’il meurt ». (Jean 11.25)