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Il a fallu qu’un jour Dieu fasse l’homme !

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Pour qu'il y ait une résurrection, il faut d'abord qu'il y ait une mort.
Nous voyons avec quelle force la société éprouve toujours le besoin de commémorer ou célébrer les personnages de l'Histoire. En fait, ce qu'elle commémore ou célèbre, voire adore, ce sont des morts. Personnellement, je suis lassé d'entendre tant de discours prenant référence sur les morts. Je suis aussi lassé de voir tant de personnalités, et des plus éminentes, rechercher dans les morts de l'Histoire la solution qui permettra de sauver le pays, voire le monde. Nous voyons donc la société des hommes et des femmes sans Dieu poussés à l'extrême dans leur propre retranchement et arriver à leurs limites. Ils ne trouvent pas d'autre solution que de fouiller le passé puisqu'ils n’ont pas d’avenir. Une personne sans Dieu n'a pas de véritable avenir, ni d'espérance. On comprend alors la Parole de Dieu qui dit : "Il n’y a rien de nouveau sous le soleil. Ce qui est a déjà été, et ce qui sera a déjà été, et Dieu ramène ce qui est passé" (Eccl 3.5). Donc l'Histoire se répète, mais ceux qui font l'Histoire et qui ne connaissent pas Dieu ignorent ce processus. De la mort, ne peut sortir que la mort. Ainsi est notre monde. Il naît et il meurt. Une humanité naît et meurt.

Ce n'est pas ce que Dieu veut depuis le commencement. Dieu, le Tout-Puissant, l’omniscient, a la solution depuis longtemps, mais elle est restée cachée dans son sein pendant des siècles. À un moment précis de l'Histoire, il l'a révélée aux hommes de toute la terre. Il a envoyé son Fils unique. Ce fut un évènement extraordinaire que l'humanité, aujourd'hui, à tendance à rejeter radicalement : l'événement de Noël, l'incarnation du Fils bien-aimé du Père dans un corps comme le nôtre. Engendré directement par le Saint-Esprit dans le sein d’une vierge nommée Marie, Jésus est né dans une sainteté parfaite. Sa vie fut exemplaire, il ne commit aucun péché. Lui, qui de toute éternité habite en communion avec le Père, est venu d'un commun accord pour prouver l'amour que Dieu a pour ses créatures tombées toutes dans le péché et dans la perdition éternelle. Il est venu pour les sortir de la mort. Ce fut difficile pour le Fils de Dieu incarné qui était alors un homme comme nous, quoique sans péché. Dans son agonie avant de se laisser clouer sur une croix, il s'abandonna à la volonté du Père, car il n'y avait pas d'autre solution. Pendant trois heures terribles, où le ciel s'assombrit, crucifié entre deux brigands, il prit en son corps tous les péchés des hommes, toutes les maladies, et toutes les infirmités. Avant de mourir, "Jésus s'écria d'une voix forte: Père, je remets mon esprit entre tes mains. Et, en disant ces paroles, il expira" (Luc 23.46).

Si Jésus était resté dans son tombeau, il serait comme toutes les célébrités que le monde commémore. Et sa mort n'aurait servi à rien.

Mais que s'est-il passé trois jours après sa mort ? Et voilà l'événement le plus grand de l'Histoire : Jésus est ressuscité d'entre les morts ! La mort est vaincue ! Quelle différence entre tous ceux qui sont morts, qui sont encore dans leur tombeau, même les plus illustres, et ce Jésus qui est sorti de la mort, laissant un tombeau vide, et qui est donc bien vivant ! Qu'est-ce que Napoléon à côté de Jésus ? Et dites-moi pourquoi le monde préfère commémorer les morts et refuse de commémorer celui qui est vivant ? Bien qu'invisible à nos yeux, Jésus est bien vivant dans le ciel. Ses disciples l'ont vu s'élever dans les nuées et disparaître. À ce moment-là, une voix se fit entendre : "Voici, deux hommes vêtus de blanc leur apparurent, et dirent: Hommes Galiléens, pourquoi vous arrêtez-vous à regarder au ciel ? Ce Jésus, qui a été enlevé au ciel du milieu de vous, viendra de la même manière que vous l'avez vu allant au ciel" (Actes 16.10-11).

La bonne nouvelle, c'est que tous ne refusent pas d'adorer le ressuscité ! Depuis deux mille ans, un bon nombre l'adore ! Jésus a dit : "l'heure vient, et elle est déjà venue, où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité ; car ce sont là les adorateurs que le Père demande" (Jean 4.23). Chers amis qui lisez ces lignes, nous y sommes : c'est l'heure ! C'est l'heure de se réveiller. Seulement, quand Dieu parle, tous ne peuvent pas saisir cette Parole. Il faudrait certainement un miracle pour que les adorateurs de Napoléon cessent d'adorer leur mort pour se tourner vers l'adoration de celui qui est ressuscité d'entre les morts (bien qu'un miracle est toujours possible de la part de Dieu). En général, ce ne sont pas les plus érudits, les plus savants et les plus intellectuels qui acceptent la bonne nouvelle du Christ, de sa mort et de sa résurrection. Ce point important est souligné dans la Bible par ce passage : "En ce moment même, Jésus tressaillit de joie par le Saint Esprit, et il dit: Je te loue, Père, Seigneur du ciel et de la terre, de ce que tu as caché ces choses aux sages et aux intelligents, et de ce que tu les as révélées aux enfants. Oui, Père, je te loue de ce que tu l'as voulu ainsi" (Luc 10.21). À un autre moment, Jésus a insisté pour compléter sa pensée : "Je vous le dis en vérité, si vous ne vous convertissez et si vous ne devenez comme les petits enfants, vous n'entrerez pas dans le royaume des cieux" (Mat 18.3).

Jésus nous dit la vérité. En même temps, il nous éprouve pour voir si nous aimons la vérité. La porte est ouverte à tous, il suffit de se convertir et de devenir comme les petits enfants. C'est simple et difficile à la fois, parce qu'il s'agit de passer de l'orgueil à l'humilité. Qui est capable de renoncer à soi-même ? Tout perdre pour tout gagner. La Bible est là pour nous aider, pour fortifier notre foi si nous nous ouvrons à elle. Elle dit : "Ayez en vous les sentiments qui étaient en Jésus Christ, lequel, existant en forme de Dieu, n'a point regardé comme une proie à arracher d'être égal avec Dieu, mais s'est dépouillé lui-même, en prenant une forme de serviteur, en devenant semblable aux hommes ; et ayant paru comme un simple homme, il s'est humilié lui-même, se rendant obéissant jusqu'à la mort, même jusqu'à la mort de la croix. C'est pourquoi aussi Dieu l'a souverainement élevé, et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom" (Phil 2.5-9). La Bible qui ne ment pas dit encore : "Quiconque s'élève sera abaissé, et celui qui s'abaisse sera élevé" (Luc 18.14). Jésus s'est abaissé au plus bas, et le Père l'a élevé au plus haut. Il en sera de même pour nous selon que nous nous élèverons ou que nous nous abaisserons.

Quelle sera ma décision ? Soit je vais persister dans les choses qui me confortent depuis toujours dans mes habitudes et qui me procurent du plaisir, soit je vais y renoncer en décidant d'écouter ce que Dieu dit. Je vais accepter dans mon coeur la mort et la résurrection de Jésus comme un fait qui s'est réellement passé, les témoins qui en parlent n'auraient aucune raison de mentir. De même que je vais accepter comme vraies toutes les paroles prononcées par Jésus, parce que tout ce qu'il a dit se tient dans une parfaite cohérence. Après cette mise au point dans mes pensées et mes sentiments, je vais avoir aucune difficulté à accepter de faire sa volonté et non plus la mienne. Je vais me voir partir en route, sur le bon chemin, avec tous ceux qui adorent Dieu en esprit et en vérité. Et c'est ainsi que je vais commencer ma nouvelle vie chrétienne. Je n'ai jamais vu quelqu'un le regretter. Au contraire ! Pour qu'il y ait une résurrection, il faut d'abord qu'il y ait une mort. Et face à toutes les autres questions qui ne manqueront pas d'arriver, Jésus me dira toujours, comme à Marthe et Marie : "Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort; et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ?" (Jean 11.25-26).

Ecrit par alberto, le Mercredi 5 Mai 2021, 23:24 dans la rubrique Dire Dieu.
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