Qu'est-ce qui est bien, qu'est-ce qui est mal ?
Qu'est-ce qui est bien, qu'est-ce qui est mal ? La réponse devrait être simple du fait que la conscience humaine est douée de discernement afin de nous montrer le bon chemin. Telle voie est bonne, telle voie est mauvaise. Mais par quel stratagème malsain, la conscience humaine s'est-elle pervertie au point de prendre subitement les mauvais chemins pour de bons chemins ? Les mesures prises par le gouvernement sont-elles bonnes ou mauvaises ? La majorité du peuple les trouve bonnes. Le reste de la population n'y comprend plus rien et erre dans la confusion comme on erre dans le désert, pris au piège par une cause sanitaire qui devient une cause totalitaire. Le peuple n'hésite plus à employer les grands mots tant la réalité lui crève les yeux. Comment cela est-ce possible ? Il y a un an, on applaudissait les infirmières, maintenant, on les met à la porte ! Que sera-ce dans un an ? Par ses efforts et sa persévérance, un tel pensait avoir acquis un bon métier, et d'un seul coup, le voilà remis en question. Toute une existence est remise en question. Ce même malheur se multiplie un peu partout au-delà des frontières, créant un malaise au fond des consciences. Nous voulions simplement être heureux !
À ce propos, la Bible aussi emploie les grands mots, elle dit : "Malheur à ceux qui appellent le mal bien, et le bien mal, qui changent les ténèbres en lumière, et la lumière en ténèbres, qui changent l'amertume en douceur, et la douceur en amertume!" (Esaïe 5.20).
Si la Bible le dit, cela s’accomplira. Le malheur tombera, non pas sur ceux qui font le bien, mais sur ceux qui font le mal, sur tous ceux qui ont abandonné la parole de Dieu et la foi en Christ – la foi en Christ qui était pourtant l'héritage des générations qui nous ont précédés. Qu'avons-nous fait de cet héritage chrétien ? En abandonnant la foi en Christ, dont l'effigie érigée en statues représentant le crucifié est encore en place à de nombreux carrefours ou sous quelque arbre centenaire, nous avons abandonné la bénédiction pour entrer dans la malédiction. "C'est pour votre bien que nous agissons de la sorte", telle est la parole politique. Et le peuple (du moins une partie), se rend compte du mensonge dont il est la victime. Il en reste choqué devant la réalité d'une classe dirigeante qui appelle le bien mal et le mal bien.
Y a-t-il une issue de secours à cette crise mondiale ? Les conséquences du désordre qui s'accumule un peu partout sur la surface de la terre, sont contenues dans le mot "Malheur" prononcé par la Bible qui représente (que nous le voulions ou non) la plus haute autorité, celle venant d'en haut du plus haut des cieux. La perte de la foi annulera-t-elle cette réalité ? Certainement pas !
Mais heureusement, il y a un autre mot dans la Bible, prononcé par celui qui se porte garant des Ecritures, qui les a confirmées et qui les a accomplies : Jésus-Christ. Combien de fois Jésus a prononcé le mot "Heureux" en faveur des pauvres, des malheureux, des exclus de la société, des déshérités ? Écoutons Jésus qui a prononcé ces paroles en face d'une foule nombreuse, désespérée comme peut l'être la foule d'aujourd'hui :
"Heureux les pauvres en esprit, car le royaume des cieux est à eux!
Heureux les affligés, car ils seront consolés!
Heureux les débonnaires, car ils hériteront la terre!
Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés!
Heureux les miséricordieux, car ils obtiendront miséricorde!
Heureux ceux qui ont le coeur pur, car ils verront Dieu!
Heureux ceux qui procurent la paix, car ils seront appelés fils de Dieu!
Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice, car le royaume des cieux est à eux!
Heureux serez-vous, lorsqu'on vous outragera, qu'on vous persécutera et qu'on dira faussement de vous toute sorte de mal, à cause de moi" (Mat 5.3-11).
Voilà l'issue de secours pour un monde maudit comme le nôtre. Jésus est la porte par laquelle nous pouvons sortir de la malédiction pour entrer dans la bénédiction. La simple foi en ce Jésus crucifié est suffisante pour que cette porte s'ouvre au fond de notre coeur. Car c'est au fond de notre coeur que s'ouvre la véritable liberté, ainsi que la véritable source de vie. Pour que cela se produise, il suffit que je m'ouvre à la parole de Dieu, que je la lise ou que je l'entende, et que je la croie. Que je la croie surtout, sans douter ! Jésus ne ment pas, il est lui-même la vérité en personne : "Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi" (Jean 14.6).
Quel baume lorsque tu reçois Jésus dans ton coeur ! Lorsque tu comprends que Jésus est ressuscité des morts et qu'il est vivant ! Un voile s'est déchiré parce que tu as cru en lui, et maintenant, ton regard sur le monde est différent. Tu comprends que ce monde est voué à la perdition et que le crucifié en question est réellement ressuscité. Tu le reconnais comme étant le Fils de Dieu venu d'en haut pour apporter ici-bas le royaume des cieux. Le ciel sur la terre. Le chaos de ce monde pourra emporter dans l'oubli toutes les effigies du Christ, les balayer et les remplacer par d'autres, rien n'y fera, parce que Jésus est vivant. Tu as compris, par la foi en son nom, qu'il vient d'abord par son Esprit Saint dans les coeurs de ceux qui se repentent et qui l'acceptent, avant de revenir, un jour, d'une manière parfaitement visible sur la terre. Alors l'épouvante saisira tous ceux qui n'ont pas cru en lui. Jésus est le Seigneur des Seigneurs, le Roi des Rois, éternellement ! Nous avons tous la grâce de pouvoir l'accepter maintenant, humblement, par la foi, si nous le voulons. Nous pouvons aussi refuser. Dieu a voulu nous laisser libres de nos choix, mais en connaissance de cause. Qu'est-ce qui est bien, qu'est-ce qui est mal ? À nous de faire le bon choix.
Un bon conseil en vaut deux, surtout s'il vient de Dieu : "J'en prends aujourd'hui à témoin contre vous le ciel et la terre: j'ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives, toi et ta postérité" (Deutéronome 30.19).
Ecrit par
alberto, le Mercredi 13 Octobre 2021, 15:11 dans la rubrique
Dire Dieu.
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