Reconnaissez en Jésus votre Sauveur avant qu'il ne soit trop tard
Il faut faire comprendre à notre entourage que nous sommes entrés dans la fin des temps. Ce sont des temps qui ne ressemblent en rien au temps passé il y a seulement dix, quinze, vingt ans. En réalité, les temps de la fin ont commencé avec la venue de Jésus et celle du Saint-Esprit le jour de la Pentecôte. Deux mille ans après, des signes nous indiquent que la fin des temps est venue et que le retour du Seigneur Jésus est proche. Il est à la porte. Si la Bible nous dit que depuis deux mille ans, "c'est la dernière heure" (1 Jean 2.18), aujourd'hui l'horloge de Dieu marque tout au plus une minute avant la fin.
Tous les non-croyants (les païens) n'y prennent pas garde. Tous sont occupés aux affaires du monde, à trouver des solutions aux problèmes innombrables qui les assiègent. Beaucoup de souffrances, de désespérances, font partie de leur lot quotidien. D'autant que dans notre pays, comme dans la plupart des pays, une pression politique s'exerce sur les peuples à cause d'un désir d'asservissement. C'est que, en rejetant Dieu, le monde s'est retrouvé piégé sans le savoir par une puissance invisible mais réelle qui est celle de l'adversaire de Dieu. L'homme, en soi ne détient aucune puissance, sauf peut-être celle de ses muscles, mais rien de plus. Par la connaissance de Dieu, nous apprenons une vérité que personne ne possède en soi d'une manière naturelle, à savoir, que chacun se trouve sous une dépendance spirituelle, soit celle de Dieu, soit celle du diable.
Au départ, dès notre naissance, nous sommes tous pécheurs et le péché qui habite en nous dans notre chair nous coupe de Dieu. Nous vivons alors dans une mort spirituelle au même rang que celui qui détient la puissance du péché et de la mort et qui est le diable. Le diable a un accès direct avec nous par la chair. C'est pourquoi, tant que nous ignorons notre état de pécheur, nous sommes dépendants du diable. Notre état change dès que le Saint-Esprit de Dieu nous interpelle et nous convainc de péché. Personne ne peut saisir la nécessité d'un Sauveur s'il n'est pas d'abord convaincu de péché. Dieu lui-même travaille auprès de chaque être humain, pour le convaincre de péché, de justice et de jugement (Jean 16.8).
Lorsque nous avons entendu la bonne nouvelle de l'Evangile, notre coeur s'ouvre ou ne s'ouvre pas. Tout dépend de la décision que nous prenons en notre âme et conscience. Dieu nous laisse notre libre arbitre face à ce choix qui va déterminer notre sort non seulement ici-bas, mais dans l'éternité. En général, si nous avons bien compris le message de l'Evangile, il nous est facile de faire le pas de la foi qui nous réconcilie avec Dieu. Jésus est ce Sauveur merveilleux qui nous a tant aimés au point de donner sa vie pour nous. Sur la croix, il a subi à ma place la condamnation de mes péchés, il a pris à son compte le châtiment qui m'était destiné. Il m'a complètement libéré. Et comme il est ressuscité, il m'offre une nouvelle vie en lui. En me donnant cette nouvelle vie en Jésus-Christ, il me fait passer de la mort a la vie, des ténèbres à la lumière. Dans la réalité, Il me fait passer de la dépendance du diable à la dépendance de Dieu. Ceux qui font ce choix sont en minorité. La plupart préfèrent le monde avec ses attraits et ses plaisirs. Sans le savoir, ils se mettent sous la domination de celui qui est aussi appelé : le prince de la puissance de l'air, et qui n'est autre que Satan, le serpent ancien, le diable.
Ainsi, aujourd'hui, Satan est le chef de ce monde. Il sait qu'il lui reste peu de temps et que les temps de la fin lui appartiennent. Ils lui sont donnés jusqu'au retour du Fils de Dieu qui lui-même est assis à la droite de Dieu depuis que tout pouvoir lui a été remis dans le ciel et sur la terre (Mat 28.18). En effet, après sa victoire éclatante sur Satan remportée à la croix du Calvaire, Jésus a été élevé "au-dessus de toute domination, de toute autorité, de toute puissance, de toute dignité, et de tout nom qui se peut nommer, non seulement dans le siècle présent, mais encore dans le siècle à venir" (Ep 1.21). Il règne sur l’univers. Il a tout accompli pour la rédemption du monde entier. Il a vaincu le diable à la croix, et maintenant les jours de ce malin sont comptés. Il le sait. S'il est laissé en liberté pour peu de temps encore, c'est pour laisser aux élus le temps de mûrir dans le grand champ de Dieu jusqu'au temps de la moisson où Dieu enverra ses anges séparer le blé de l'ivraie, les brebis d'avec les boucs, les sauvés des perdus.
Les serviteurs de Satan s'appliquent en secret à prendre le monde en otage. À la base (ou au sommet de la pyramide), ils en sont conscients. Ils se cachent dans des organisations secrètes, comme la franc-maçonnerie. Mais rien n'est caché aux yeux de Dieu. Il voit l'oligarchie qui détermine les courants de la politique et des finances, de même que toutes les combines employées dans le monde pour enrayer la machine, ainsi que toute la corruption et la séduction déployées pour aveugler les gens afin qu'ils croient à leurs mensonges. Tout n'est que mensonge au royaume de Satan. "Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fonds ; car il est menteur et le père du mensonge." (Jean 8.44). Il a été meurtrier dès le commencement, et toutes ses actions sont empreintes de ce caractère meurtrier. Jésus, notre bon berger, le compare à un voleur qui laisse entrer le loup dans la bergerie : "Le voleur ne vient que pour dérober, égorger et détruire ; moi, je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu'elles soient dans l'abondance" (Jean 10.10-12)
La Bible ne cache rien et dévoile toute la vérité sur la vie présente comme sur l'au-delà. D'un côté, il y aura les sauvés, de l'autre, les perdus. La Bible ne parle pas de purgatoire. En définitive, les uns ont pour père Dieu, avec le paradis pour demeure éternelle, les autres ont pour père le diable, avec l'étang ardent de feu et de soufre pour demeure éternelle (Ap 20.15).
Toutes les précieuses paroles de Jésus ont été fidèlement recueillies et rapportées dans les quatre évangiles, Matthieu, Marc, Luc et Jean. Ce sont les paroles qui nous sauvent si nous les recueillions avec foi et que nous les gardions dans notre coeur. Mais ceux qui ne croient pas se retirent de Jésus. Lui-même en a fait l'expérience en son temps, ce qui l'a poussé un jour à dire aux douze qui l'avaient choisi : "Et vous, ne voulez-vous pas aussi vous en aller ? Simon Pierre lui répondit: Seigneur, à qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle. Et nous avons cru et nous avons connu que tu es le Christ, le Saint de Dieu" (Jean 6.67-69).
Avant que Dieu ne ferme la porte de la salle des noces réservée à son Epouse fidèle (son Eglise fidèle) qu'il a l'intention d'enlever bientôt, puissions-nous en grand nombre reconnaître en Jésus notre Sauveur et Seigneur et marcher fidèlement avec lui afin d'être sûrs d'être enlevés le jour de son avènement !
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