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Il a fallu qu’un jour Dieu fasse l’homme !

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La bourse en déroute
--> Faut-il rendre à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu ?
La crise financière
Pour ceux qui veulent penser autrement


 On ne peut pas faire la guerre, répandre le sang innocent, et s’attendre à une bénédiction. Il n’est pas nécessaire de faire de hautes études pour comprendre cette notion de justice. Hélas, l’histoire montre que le désir de puissance reste le propre de l’homme. Aussi les nations se trouvent-elles en permanence confrontées à la course au pouvoir. Sous prétexte de nécessité économique, elles se mettent au service d’un marché mondial devenu fou ; et au nom d’une société de consommation aussi folle, leurs dirigeants politiques se laissent emporter par un système qui les dépasse et que les meilleurs experts n’arrivent plus à gérer. Tout système régi par l’argent ne peut que devenir obscur, parce que "l’argent est une racine de tous les maux" (La Bible), et à terme conduire à une crise dramatique. Quel miracle, finalement, lorsqu’un peuple choisit pour vivre, les vraies valeurs, et décide de les mettre en pratique ! Cela produit la paix.
 
Certes la paix de l’homme n’est pas comparable à la paix de Dieu. L’une est éphémère et fragile, l’autre est durable et inébranlable parce qu’elle vient de Dieu. Vous avez vu le système de paix installé dans les grands pays démocratiques, où l’Etat, la République, ou la Fédération, revendique ses propres intérêts, économiques, financiers et militaires. Tant que l’ensemble des rapports de force fonctionne, la paix de l’homme fonctionne. Mais dans les pays non démocratiques, les dictatures, rien ne fonctionne ; pire : la construction d’un mur de séparation s’impose parfois. Et lorsque la paix est impossible, la guerre devient inévitable.
 
Pourquoi la paix n’est-elle pas durable, et pourquoi est-elle-même parfois impossible ?
Mais comment l’homme qui rejette Dieu pourrait-il connaître la paix de Dieu ? L’homme incroyant ne sait pas qu’il existe une paix spéciale que Dieu seul peut donner, une paix durable, inébranlable. L’homme qui s’oppose à toute révélation divine ignore les vérités spirituelles, celles qui sont liées à son cœur ; il reste ignorant de lui-même, comme plongé dans une obscurité profonde qui l’empêche de reconnaître son état d'homme loin de Dieu  ; parce qu’il n’a pas reconnu en l’enfant Jésus couché dans la crèche, celui qui avait été annoncé des siècles auparavant par les prophètes : le Messie, le Sauveur, Dieu lui-même, Jésus, qui nous fait passer des ténèbres à la lumière. Au 21e siècle, où chacun peut tout savoir, il s’agit davantage d’un refus que d’une ignorance. C’est pourquoi les temps que nous vivons et que nous allons vivre sont d’une haute importance. Qui pourra dire : "Je ne savais pas" ?
 
Maintenant, jeunes et vieux ont peur de l’avenir. Les jeunes se demandent s’ils auront un emploi. Ceux qui ont un emploi se demandent s’ils vont pouvoir le garder. Ceux qui abordent la retraite  sont angoissés à l’idée qu’ils auront cotisé toute une vie pour rien (ou presque rien). Quant à ceux qui sont sans emploi, leur problème reste insoluble... Il aurait le prix Nobel, celui qui trouverait une solution ! Les scientifiques le savent, si le problème global reste insoluble, le problème individuel est soluble. Si on traite une cellule, l’ensemble des cellules risque d’y gagner. Cellule après cellule. En tout cas, les cellules qui veulent bien accepter le traitement auront les plus grandes chances. Les autres, hélas, celles qui auront rejeté le traitement périront. Homme ou cellule, nul ne saurait se soustraire à la loi sans en subir l’intransigeance des conséquences.
 
Les choses complexes peuvent être simplifiées, mais j’ai l’impression que plus on approche de la simplicité, plus le refus – en nous – grandit. Savez-vous pourquoi ? Parce que nous sommes orgueilleux. Nous pensons prendre nos décisions grâce à notre cerveau alors qu’en réalité, c’est notre cœur qui nous dirige. Si notre cœur est orgueilleux nos décisions seront empreintes d’orgueil. Si notre cœur est humble, nos décisions seront empreintes d’humilité. Cela ne tient pas non plus à notre personnalité ou à notre caractère, mais à terme, de notre propre choix. Devant un gâteau, nous prenons, soit la grosse part, soit la petite. Voulons-nous attendre qu’il n’y ait plus de gâteau du tout devant nous ? Ce serait la pire des situations, mais ne nous voilons pas la face, n’est-ce pas exactement ce que nous redoutons aujourd’hui lorsque nous imaginons l’avenir ?
 
Une femme enceinte aspire à la délivrance. La prière des chrétiens : "Jésus, viens !", est une prière qui traduit aussi une aspiration à la délivrance, autant à l'échelle personnelle qu'à l'échelle planétaire. Ils savent que le retour de Jésus signifiera la fin des souffrances et le début d'un renouveau complet sur la terre. Mais lorsque je regarde autour de moi, il me semble que les gens n’ont pas pris conscience que nous sommes au 21e siècle ! Ils n’ont pas pris conscience que nous sommes passés maintenant dans un autre temps caractérisé par le virtuel, l’invisible, le monde d’Internet ! Nous avons un corps de chair qui a besoin d'être nourri, certes nous en jouissons - on se marie, des enfants naissent - mais nous avons un esprit à l’intérieur de notre corps ainsi qu’une âme qui a besoin d'être nourrie aussi. Ce qu’il nous manque c’est l’Esprit, c’est-à-dire l’Esprit de Dieu, c’est-à-dire le terrain spirituel. Voilà notre problème : nous n’avons pas en nous de terrain spirituel. Avec un terrain spirituel, il est possible de discuter de Dieu d’une manière constructive. Au lieu de cela, notre esprit reste trop superficiel, fermé aux choses de Dieu, mais attaché aux choses dont notre monde est tellement friand et qui se rattachent globalement à notre corps charnel et à ses besoins. Nous ne voulons pas entendre ceci : "L’homme ne vivra pas de pain seulement mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu" (La Bible). Voila pourquoi nous restons éloignés de Dieu et malheureux. L'espoir réside en ce que l'homme charnel que nous sommes tous d'abord devienne ensuite homme spirituel.
 
Quand il y a un commencement, il y a une fin. Le temps fait son œuvre et s’achemine vers son terme. Au fil des jours, des mois, des années, des siècles, le monde avec son humanité se trouve  en évolution, porté, transporté, et l'ensemble se dirige vers un mûrissement. Une fois déjà, à un moment bien défini de l'histoire, à un moment fixé par le Créateur, Dieu s’est fait chair, corps, et il nous a visités : "lorsque les temps ont été accomplis, Dieu a envoyé son Fils, né d'une femme, né sous la loi..." (La Bible, Galates 4.4). Pourquoi nous a-t-il visités ? Pour que nous le recevions. Lorsqu’un ami vient nous visiter, qu’il frappe à la porte, comment réagissons-nous ? Ouvrons-nous la porte ? Le recevons-nous ?
 
Si Jésus est venu visiter les humains, chacun est concerné. Je peux me poser la question : Est-ce que j’ai accueilli Jésus dans mon cœur ? Personnellement oui, cela fait une trentaine d’années. Je l’ai accueilli après avoir été informé en ce qui concerne l’Evangile et en priant. Depuis, il vit en moi grâce à l’Esprit de Dieu. Je suis maintenant comme une cellule guérie, je n’aurai jamais comme destin celui de périr, parce que l’Esprit de Dieu donne la vie selon Dieu. Puisqu'il vit éternellement, alors il donne la vie éternelle. Jésus est venu nous apporter ce cadeau. "Je suis la vie", a-t-il dit. Comprenons-nous la nécessité "d’avoir Jésus" dans notre cœur ? Ce n’est pas dans un bâtiment que Dieu veut habiter : c’est dans notre cœur !
Après sa résurrection, Jésus est retourné là où il était auparavant, auprès de son Père dans le ciel. Sous les regards de ses disciples, il s’est élevé dans les nuées, et à ce moment là, la Bible rapporte ce témoignage : "Ils avaient encore les regards fixés vers le ciel où Jésus s'élevait, quand deux hommes habillés en blanc se trouvèrent tout à coup près d'eux et leur dirent : Hommes de Galilée, pourquoi restez-vous là à regarder le ciel ? Ce Jésus, qui vous a été enlevé pour aller au ciel, reviendra de la même manière que vous l'avez vu y partir." (La Bible, Actes des Apôtres 1.10-11).

 
Ecrit par alberto, le Mercredi 8 Octobre 2008, 13:01 dans la rubrique Dire Dieu.

Commentaires :

Absurdus
06-10-08 à 23:18

Dis, si jamais, Dieu est ma petite soeur, alors si tu dois lui rendre un truc tu peux me le filer et je le lui donnerai la prochaine fois que je la vois.

 
alberto
07-10-08 à 10:16

Re:

Voila un exemple de Français bien français !

 
Absurdus
07-10-08 à 10:59

Re:

Ah tu crois?
Zut, on m'a menti sur mes origines. Je ne suis pas le fils de mes parents. Argh. Mon univers s'écroule. T'es un salaud de me révéler des trucs pareils aussi brutalement.

 
alberto
07-10-08 à 11:20

Re:

tu n'es pas obligé de me croire !
... sinon retrousse les manches et fais comme moi, reconstruis ton univers écroulé !
... tu peux aussi aller voir mon pote de St-Imier.

 
stupidchick
11-10-08 à 02:58

Re:

YE SOUIS MORTE DE RIRE!!!!

'spèce de Français, va.


 


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