Si Dieu vous ouvrait une porte dans le ciel
Difficile d’expliquer ce qui se passe dans le monde à des personnes qui ne croient ni en Dieu ni au diable ! Pour se comprendre entre nous, faut-il au moins parler la même langue. Combien de temps faudra-t-il encore attendre avant que la promesse biblique s'accomplisse : "Car la terre sera remplie de la connaissance de la gloire de l'Eternel, comme le fond de la mer par les eaux qui le couvrent" (Habacuc 2.14) ? Comme il paraît simple de puiser de l'espérance dans la parole de Dieu ! Pas besoin de grande intelligence, la foi suffit, mais la foi seule en Dieu ! Pourtant, on ne peut pas dire que le monde et ses habitants ne sont pas sans foi, simplement, ils croient en tout sauf en Dieu !
L'incrédulité ne change en rien la réalité de Dieu ! Il voit tout ! Il sait tout ! Il n'est pas surpris du déclin du monde ! Il en a vu décliner des civilisations au cours de l’Histoire ! La civilisation du temps d'Esaïe était en déclin. Celle du temps de Noé aussi. Et maintenant, c'est au tour de notre civilisation. Désobéissance aux lois divines, abandon du Dieu créateur du ciel et de la terre, descente aux enfers par la pratique du péché qui, de notre temps, n'a jamais été aussi loin dans son abomination ! Et lorsque les enfants deviennent les victimes, Dieu ne tarde jamais avant d'intervenir. Il est obligé d'intervenir, pour éviter que tous soient perdus. À chaque fois, une minorité subsisatae, c'est la minorité des croyants fidèles en la parole de Dieu, les élus. Il arrivera la même chose à notre civilisation de la fin : "Et, si le Seigneur n'avait abrégé ces jours, personne ne serait sauvé ; mais il les a abrégés, à cause des élus qu'il a choisis" (Marc 13.20).
L'ignorance – parfois l'oubli – de la connaissance de Dieu nous poussent trop souvent à nous tourmenter. Nous sommes trop souvent préoccupés par les actualités quotidiennes, les mauvaises nouvelles, les injustices, la peur que les gouvernants nous injectent par leurs déclarations ajoutées à leurs actions qui ne nous font pas du bien, disons-le, mais qui nous font plutôt mal. Pourtant, au milieu de l'effroi, si Dieu vous ouvrait une porte dans le ciel, vous le verriez assis sur son trône dans sa pleine souveraineté ! Vous verriez les anges le servir. Vous verriez aussi les démons trembler sous sa Parole et fuir en hurlant. Vous verriez sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique, Jésus, qui s'est assis à la droite de Dieu après avoir remporté la victoire de la croix : "Il a effacé l'acte dont les ordonnances nous condamnaient et qui subsistait contre nous, et il l'a détruit en le clouant à la croix ; il a dépouillé les dominations et les autorités, et les a livrées publiquement en spectacle, en triomphant d'elles par la croix" (Col 2.14-15). Avec le désir de connaître la vérité, saisissons le sens de cette parole, la victoire extraordinaire du Seigneur Jésus-Christ qui a vaincu le monde ! Il a vaincu le monde, c'est à-dire Satan et ses hordes de démons ! Ce sont toutes ces puissances occupant les ténèbres qui veulent détruire tout ce que Dieu fait, qui séduisent le monde entier et ses habitants, les poussant tous ensemble vers le déclin, vers la destruction et la mort. Voilà la connaissance qui nous manque ! Si cette connaissance nous manque, si nous n'avons pas l'amour de connaître la vérité, nous ne pourrons pas résister au diable, et sans que nous nous en rendions compte, nous serons livrés à l'emprise de ces puissances destructrices. Au lieu de croire en la vérité, nous croirons au mensonge. Le système du monde n'est que basé sur le mensonge – le mensonge qui vient du père du mensonge, le diable, et dans lequel il n'y a pas de vérité. Croyez-vous que nos dirigeants nous disent la vérité ? Croyez-vous que tous les organes qui se font les porte-paroles du système nous disent la vérité ? Apprenons à discerner les sources de leur inspiration en commençant par croire en Dieu !
Ceux qui n'ont pas l'amour de la vérité croient aux mensonges et ils prennent ces mensonges pour vérité. Le prophète de Dieu, Esaïe, qui vivait dans une société en déclin comme la nôtre, a prononcé un jugement, il a dit : "Malheur à ceux qui cachent leurs desseins pour les dérober à l'Éternel, qui font leurs oeuvres dans les ténèbres, et qui disent : Qui nous voit et qui nous connaît ? Malheur à ceux qui appellent le mal bien, et le bien mal, qui changent les ténèbres en lumière, et la lumière en ténèbres, qui changent l'amertume en douceur, et la douceur en amertume !" (Esaïe 29.15 et 5.20).
Parce que Dieu est juste, le prophète a prononcé un jugement sur cette société injuste. Mais ce n'est pas tout ! Parce que Dieu est amour, le prophète a révélé la venue d‘un Sauveur : "C'est pourquoi le Seigneur lui-même vous donnera un signe, voici, la jeune fille deviendra enceinte, elle enfantera un fils, et elle lui donnera le nom d'Emmanuel, ce qui signifie Dieu avec nous" (Esaïe 7.14). Cette prophétie a été accomplie il y a deux mille ans. La vierge Marie a enfanté un fils qu'elle a appelé Jésus. L'ange Gabriel l'avait visitée avant sa grossesse pour lui donner les instructions : "Et voici, tu deviendras enceinte, et tu enfanteras un fils, et tu lui donneras le nom de Jésus" (Luc 1.31). Lisez tout le chapitre pour apprendre exactement comment est né notre Sauveur. Depuis son état de petit enfant né dans la crèche jusqu'à sa stature d'homme parfait cloué sur une croix et ressuscité, Jésus-Christ est l'expression de la grâce de Dieu dans sa pleine humanité autant que dans sa pleine divinité, et en qui nous sommes tous appelés à croire, afin d'être sauvés et d'avoir part à la félicité éternelle. Même dans une société en déclin, la volonté de Dieu demeure : "Il veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité" (1 Tim 2.4). C'est comme s'il disait : Venez puiser votre propre espérance dans la parole de Dieu. L'espérance en Christ vous permettra de garder la foi pour vivre jusqu'au bout quoi qu'il arrive.
Nous sommes dans une société où le péché abonde, mais où la grâce surabonde : "Or, la loi est intervenue pour que l'offense abondât, mais là où le péché a abondé, la grâce a surabondé" (Ro 5.20). La grâce surabonde pour celui, celle, qui se repent de ses péchés, son âme est alors sauvée ! Voilà ce que Dieu veut. Il ne veut rien d'autre que sauver l'âme humaine (la vôtre, la mienne) de l'enfer éternel !
Ecrit par
alberto, le Mercredi 22 Décembre 2021, 08:34 dans la rubrique
Dire Dieu.
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