Si vous ne connaissez pas Jésus, laissez vous interpeller par son invitation.
Qui dira que Dieu ne parle pas ? Quand est-ce que les médias de masse retransmettront sa Parole ? Dieu ne désire pas la mort du pécheur. S'il parle, c'est pour prévenir ! "Car je ne désire pas la mort de celui qui meurt, dit le Seigneur, l'Eternel. Convertissez-vous donc, et vivez" (Ez 18.32)
Quand la vie vous interpelle, Jésus dit : "Viens, mon enfant d'amour. Reste dans l'Esprit. La confusion règne trop avec les leaders. Il y en a trop qui se perdent en chemin, entraînant avec eux un troupeau mal enseigné. Mais toi, si tu ne veux pas te perdre, écoute l'enseignement du bon berger. Un seul est le bon berger, c'est le Seigneur Jésus. Ses brebis entendent sa voix et le suivent. Elles ne suivront pas un autre berger. Les autres bergers sont de faux bergers. Si tu n'es pas rendu simple comme un enfant, tu risques de te tromper de troupeau. Toutes les brebis du Seigneur sont rendues simples comme un enfant, elles ne peuvent plus rien faire sans leur bon berger. Devenues dépendantes de lui, elles ne le lâchent plus d'une semelle et le suivent docilement. Elles ont appris à cesser toute rébellion et restent collées à sa voix, à sa Parole. De cette façon elles sont pleinement rassurées et se savent protégées de tout danger.
La solution est simple, mais difficile ! Difficile est le dépouillement de la chair, l'abandon des rudiments de ce monde, dont nous sommes sortis. Comme un plasma infect que nous serions condamnés à traîner, un cordon ombilical qui ne serait pas coupé. Non, nous n'avons pas besoin de traîner notre propre cadavre. Il est déjà enseveli dans le même tombeau que Jésus. Si vous visitez le tombeau de Jésus, vous visitez votre propre tombeau. "Ayant été ensevelis avec lui par le baptême, vous êtes aussi ressuscités en lui et avec lui, par la foi en la puissance de Dieu, qui l'a ressuscité des morts" (Col 2.22). Dans sa mort, Jésus a pris avec lui votre vieille nature, elle est définitivement dans le tombeau, avec tous vos péchés, tous vos fantasmes. Dans sa résurrection, il vous a donné une nouvelle nature, éternelle et parfaite. Quand vous vous convertissez, tout ce que Jésus a fait pour vous à la croix devient concret. Vous naissez de nouveau, d'une naissance spirituelle, parce que Dieu est Esprit. La nouvelle nature que vous avez reçue est une personne, la vôtre, faite non pas de chair, mais d'Esprit. Vous ne la voyez pas encore, mais Dieu la voit. Elle est cachée en Jésus, placée en Jésus, assise en Christ dans les lieux célestes. "Car vous êtes morts, et votre vie est cachée avec Christ en Dieu. Quand Christ, votre vie, paraîtra, alors vous paraîtrez aussi avec lui dans la gloire" (Col 3.3). Pour l'heure, vous êtes une simple brebis du Seigneur et vous marchez avec cette connaissance qui mobilise et active votre foi. Vous marchez dans l'Esprit de votre nouvelle nature qui est en vous. Et parce que vous aimez Jésus qui a donné sa vie pour vous, les yeux de votre coeur vont s'illuminer, et parce que vous aimez sa Parole, vous allez la recevoir comme la véritable nourriture venant du ciel. Votre nouvelle nature en a besoin. Jésus a dit : "C'est l'esprit qui vivifie ; la chair ne sert de rien. Les paroles que je vous ai dites sont esprit et vie" (Jean 6.63). C'est donc elle, la parole de Dieu qui va mobiliser une croissance dans tout votre être, en partant de l'intérieur vers l'extérieur, de l'esprit vers l'âme et le corps.
Difficile est le dépouillement de la chair, l'abandon des rudiments de ce monde dont nous sommes sortis. Oui, mais Dieu le sait. C'est pourquoi, dès le début de notre nouvelle vie, il nous a donné une nouvelle nature en esprit, qui est déjà dans la perfection, afin de nous attribuer la capacité d'amener également l'âme et le corps dans la perfection. "Celui qui vous a appelés est fidèle, et c'est lui qui le fera" est-il écrit, promis (1 The 5.24). Ce n'est donc pas de nos propres forces que nous y arriverons, il est inutile de s'y astreindre par une vaine observation de la loi. D'ailleurs, si nous sommes une nouvelle créature, nous nous sommes confiés pleinement à la grâce de Dieu qui est en Jésus-Christ, et nous avons été dégagés de la loi (de Moïse). Notre foi en Jésus nous sauve et non l'observation de la loi. Maintenant que nous sommes une nouvelle créature par le fait que notre vieille nature a été remplacée par une nouvelle nature parfaite en esprit, Jésus vient y habiter, par le Saint-Esprit. C'est lui qui va nous donner la capacité d'accomplir la volonté de Dieu sans effort. C'est lui qui va agir dans notre âme et dans notre corps pour en assurer la purification, la guérison et la sanctification. Il le fera dans la mesure où nous le laisserons faire. Nourris régulièrement de la Parole, nous serons poussés à rendre grâce au Père, qui nous a rendus capables d'avoir part à l'héritage des saints dans la lumière (Col 1.12).
Nous sommes sortis du monde. Avant, nous étions en Adam. Nous étions sous l'esclavage des rudiments du monde, la proie de la philosophie, de la tradition des hommes, des choses sans Christ. Mais si nous sommes morts avec Christ – et nous le sommes – alors nous sommes morts aux rudiments du monde. Et si nous sommes encore dans le monde, nous n'appartenons plus à ce monde.
Nous avons compris le travail de recréation de notre être entier (esprit, âme et corps) par le Seigneur Jésus-Christ. Après la désobéissance d'Adam qui a introduit le péché dans le monde, entraînant la destruction de toute la création, Dieu a entrepris une recréation complète, qui passe par la recréation de l'homme. Heureux ceux qui ont part à la nouvelle création ! Nous qui croyons, nous sommes maintenant en Christ. Nous avons été arrachés du monde, placés à part, et par la grâce de Dieu, nous sommes destinés à son royaume, celui qui est dans le ciel, et celui qu'il va établir sur cette terre. Nous sommes devenus véritablement des héritiers de Christ ! "Écoutez, mes frères bien-aimés : Dieu n'a-t-il pas choisi les pauvres aux yeux du monde, pour qu'ils soient riches en la foi, et héritiers du royaume qu'il a promis à ceux qui l'aiment?" (Jacques 2.5).
La victoire de Jésus-Christ sur la croix est la plus grande victoire de tous les temps et pour toute éternité. La résurrection de Jésus est la preuve éclatante de la victoire de la lumière sur les ténèbres, sur Satan, sur le diable, sur la chair. C'est là, sur la croix, que "Jésus a dépouillé les dominations et les autorités, et les a livrées publiquement en spectacle, en triomphant d'elles par la croix" (Col 2.15). C'est là aussi, sur la croix, qu'a eu lieu "le dépouillement du corps de notre chair, ayant été ensevelis avec lui par le baptême, vous êtes aussi ressuscités en lui et avec lui, par la foi en la puissance de Dieu, qui l'a ressuscité des morts" (Col 2.11-12).
La victoire du Christ devient la nôtre lorsque nous entrons, par la foi, dans l'obéissance à sa Parole. S'il nous demande de nous faire baptiser par immersion, ne nous y opposons pas, nous marcherons alors sur un chemin de puissance et de victoire, à la fois sur l'ennemi et sur la chair. Pas un atome de chair ne peut entrer dans le royaume de Dieu, c'est pourquoi la Bible nous enseigne à faire mourir le corps de notre chair. C'est déjà fait à la croix. Avec notre nouvelle nature en esprit, nous disposons de la puissance du Saint-Esprit pour maintenir dans l'impuissance les forces de la chair qui voudraient nous conduire dans la mort à travers toutes sortes de tentations. "Sachant que notre vieil homme a été crucifié avec lui, afin que le corps du péché soit réduit à l'impuissance, pour que nous ne soyons plus esclaves du péché" (Ro 6.6). "Ainsi donc, frères, nous ne sommes point redevables à la chair, pour vivre selon la chair. Si vous vivez selon la chair, vous mourrez ; mais si par l'Esprit vous faites mourir les actions du corps, vous vivrez" (Ro 8.12-13).
La vie éternelle nous est donnée par la foi en Jésus-Christ. La mort, qui est le salaire du péché, ne doit pas être une fin en soi. Sinon la vie serait absurde et n'aurait aucun sens. Vivre pour mourir n'a jamais été la volonté du Créateur. Si vous ne connaissez pas Jésus, le Fils de Dieu, laissez-vous interpeller. Sortez du tumulte ambiant et répondez à son invitation. Vous ne le regretterez jamais !
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