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Un peuple de plus en plus divisé à cause de Jésus
--> "le peuple se trouva de plus en plus divisé à cause de lui." (Jean 7.43)

"Le dernier jour, le grand jour de la fête (des Tabernacles), Jésus, se tenant debout, s'écria: Si quelqu'un a soif, qu'il vienne à moi, et qu'il boive. Celui qui croit en moi, des fleuves d'eau vive couleront de son sein, comme dit l'Écriture." (Jean 7.37-38)

Commentaire biblique de la Bible annotée :

"La fête du­rait sept jours ; mais, d’a­près la loi, on en ajou­tait un hui­tième qui était un sab­bat, et qui se cé­lé­brait avec une so­len­nité par­ti­cu­lière.
C’est là ce que notre évan­gé­liste ap­pelle le dernier et grand jour de la fête. Alors tout le peuple quit­tait les tentes où il avait séjourné pen­dant sept jours (verset 2, note), et se ren­dait en pro­ces­sion dans le temple, où il of­frait les sa­cri­fices et ac­com­plis­sait les autres cé­ré­mo­nies de ce grand jour.
C’est là, au mi­lieu de cette foule d’a­do­ra­teurs, que Jé­sus se lève et pro­nonce avec une grande so­len­nité les pa­roles qui suivent (Il se tenait debout et cria).

Avoir soif, c’est l’i­mage par la­quelle l’Écri­ture ex­prime les be­soins mo­raux et spi­ri­tuels. Sous le so­leil ar­dent de l’O­rient, en des lieux arides qui sou­vent manquent d’eau, la soif tour­mente fré­quem­ment l’­homme et le fait mou­rir dans de grandes souf­frances. C’est la soif de l’âme que Jé­sus s’offre à étan­cher : qu’il vienne à moi, et qu’il boive !"

Je ne sais pas si vous la voyez cette silhouette, mais moi je la vois, là-bas, debout, devant laquelle la foule passe pour se rendre à la fête. Il y a dans cette foule d'hier, les mêmes pensées que la foule d'aujourd'hui qui passe ici et là et sur les réseaux sociaux :

– "Dans la foule, plusieurs de ceux qui avaient entendu ces paroles disaient : Pas de doute, cet homme est bien le prophète attendu." (v40)
– "D’autres affirmaient : Il est le Christ."
– "Mais, objectaient certains, le Christ pourrait-il venir de la Galilée ?" (v41)

"Ainsi, les avis à son sujet étaient très partagés, et le peuple se trouva de plus en plus DIVISÉ à cause de lui." (v43)
"Quelques-uns pensaient que le mieux serait de l’arrêter tout de suite, mais personne n’osa le faire." (v44)

La Parole de Dieu apporte effectivement la division entre ceux qui croient et ceux qui ne croient pas. Les deux croissent ensemble, comme le blé et l'ivraie. Ce n'est qu'à la moisson - qui est la fin du monde - que Dieu va trier le bon grain de l'ivraie. Rien ne peut aller contre cette loi. Et Dieu demeure le Maître de cette Moisson.

"Celui qui sème la bonne semence, c'est le Fils de l'homme ; le champ, c'est le monde ; la bonne semence, ce sont les fils du royaume ; l'ivraie, ce sont les fils du malin ; l'ennemi qui l'a semée, c'est le diable ; la moisson, c'est la fin du monde ; les moissonneurs, ce sont les anges." (Matthieu 13.37-39)

Ecrit par alberto, le Dimanche 20 Octobre 2019, 23:53 dans la rubrique Dire Dieu.
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