Voilà les rouages du monde dans lequel nous vivons
Alors, peu à peu, la lumière se fait, pas encore dans les détails, mais l'on comprend déjà certaines choses. Voilà, ça vous fabrique des vaccins à base de cellule de foetus provenant d'avortement et ça vous oblige à vous faire vacciner ! Moi qui croyait qu'un vaccin devait être fabriqué sur la base de la vraie vie et non pas de la mort ! Il y a de quoi être étonné ! Sous prétexte qu'un pays déclare l'avortement légal, le meurtre d'un foetus ne serait plus un meurtre ? Sous quelle latitude vivent les hommes faisant de telles lois ? Ils oublient le Dieu vivant, devant lequel un meurtre demeure un meurtre. Le sang des victimes innocentes crie devant sa face, comme le sang d'Abel, au début de l'Histoire humaine, tué par son frère Caïn. Aujourd'hui, les fils de Caïn semblent recouvrir la surface de la terre. Ils ignorent que Dieu ne tient jamais le coupable pour innocent. Ils ignorent aussi que le jugement des coupables est scellé et inévitable – sauf pour ceux qui se repentent ! Ce qui retient encore le Seigneur, c'est sa miséricorde et sa compassion, il voudrait que tous se repentent et parviennent à la connaissance de la vérité, afin que tous soient sauvés. Malheureusement, ce ne sera pas le cas ! "Dis-leur: je suis vivant ! dit le Seigneur, l'Éternel, ce que je désire, ce n'est pas que le méchant meure, c'est qu'il change de conduite et qu'il vive" (Ez 33.11).
Si le produit d'un meurtre est placé mystérieusement dans un vaccin, le vaccin véhicule la malédiction et la mort. Ce n'est pas la volonté de Dieu, lui qui est la source de la vie et qui a dit : "Tu ne tueras pas" (Ex 20.13) !
Nous nous souvenons encore de l'épisode de Moïse monté sur la montagne du Sinaï pour aller chercher les Tables de la Loi, les dix paroles que Dieu écrivit sur des tables (Ex 34.28). Pendant son absence, le peuple n'a pas pu se tenir dans l'attente, il s'est fabriqué un veau d'or et s'est livré à l'idolâtrie en offrant des sacrifices avec ivresse et divertissement. La colère de Dieu s'enflamma. Dieu aurait consumé le peuple si Moïse ne s'était pas interposé. Il détruisit le veau d'or, mais n'utilisa pas l'or utilisé, lequel était devenu un produit de malédiction : "Il prit le veau qu'ils avaient fait, et le brûla au feu ; il le réduisit en poudre, répandit cette poudre à la surface de l'eau, et fit boire les enfants d'Israël" (Ex 32.20).
Puis Moïse dit à l'Eternel : "Pardonne maintenant leur péché! Sinon, efface-moi de ton livre que tu as écrit". L'Éternel dit à Moïse: C'est celui qui a péché contre moi que j'effacerai de mon livre" (Ex 32.32-33). Aujourd'hui, Dieu n'a pas changé, il effacera du livre de vie le nom de tous les coupables qui ne se sont pas repentis de leurs péchés. "C'est une chose terrible que de tomber entre les mains du Dieu vivant" (He 10.31). Le grand trône blanc du jugement dernier décrit dans le livre de l'Apocalypse (20.11) devrait faire trembler le monde entier ! Mais en choisissant d'ignorer Dieu, le monde entier s'est jeté dans la gueule ouverte de Satan et de ses armées sataniques. C'est pourquoi, il est écrit que : "Dieu a fixé un jour où il jugera le monde selon la justice, par l'homme qu'il a désigné, ce dont il a donné à tous une preuve certaine en le ressuscitant des morts…" (Actes 17.31).
Une grande responsabilité repose donc sur les laboratoires pharmaceutiques qui fabriquent ce genre de vaccins à base de cellule souche embryonnaire, et qui sont, rien qu'à cause de cela, des vaccins porteurs de malédiction et non de bénédiction. Il faut être au clair sur ces données qui ont besoin d'être révélées au grand public. Maintenant, vous comme moi, vaccinés ou pas vaccinés, ayez recours à Jésus-Christ qui a été fait pour nous malédiction sur la croix, afin que par la foi en lui, nous entrions dans la bénédiction (Ga 3.13).
Il faudrait aussi que les chrétiens intercèdent davantage en faveur des gouvernants, mais sans porter de jugement, sachant que "nous n'avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes" (Eph 6.12).
Lorsque Jésus dit : "J'ai vaincu le monde" – et il l'a dit –, cela veut dire qu'il a vaincu tout le système du monde actuel qui est sous la puissance du malin (1 Jean 5.19). Ce sont des myriades et des myriades de démons invisibles à nos yeux, qui agissent sous la direction du diable. Ils sont partout derrière ce que nous voyons. Ils sont là dans le secret de la pandémie et du vaccin. Ils sont là lorsqu'un hommage national est rendu à une star dans la cour des Invalides, c'est une idolâtrie dont ils sont les auteurs et qu'ils entretiennent. Parce que dans le monde des ténèbres, tout concourt pour aboutir un jour à l'adoration réelle de Satan par tous les habitants de la terre, lorsque celui-ci s'incarnera dans un homme que la Bible appelle l'antichrist. Voilà les rouages du monde dans lequel nous vivons. Faut-il être horloger pour les voir ? En tout cas, il faut la lumière de Jésus-Christ pour discerner la vérité du mensonge. Il faut que le voile se déchire dans les coeurs et que les yeux s'ouvrent sur l'invisible, à la fois sur Dieu et sur son ennemi vaincu. "Vous aurez des tribulations dans le monde, mais prenez courage j'ai vaincu le monde" (Jean 11.33). Jésus a dit cela à ses disciples, il le dit encore aujourd'hui à ceux qui le suivent et qui sont amenés au même combat, dont la victoire sur le monde est assurée. Jésus a vaincu le monde, ce n'est pas l'inverse ! La fermeté dans la foi appuyée sur la Parole de Dieu est à rechercher sans cesse. Satan ne peut rien faire à un chrétien rempli de l'Esprit. "Car ce n'est pas un esprit de timidité que Dieu nous a donné, mais un esprit de force, d'amour et de sagesse" (2 Tim 1.7). Tout chrétien ayant la foi a le pouvoir de chasser les démons, et plus encore : "Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: en mon nom, ils chasseront les démons ; ils parleront de nouvelles langues ; ils saisiront des serpents ; s'ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur fera point de mal ; ils imposeront les mains aux malades, et les malades, seront guéris" (Marc 16.17-18). Ne soyons pas sous le joug de la peur qui est celui du diable, mais soyons sous le joug du Seigneur Jésus qui ne cesse de vous inviter à venir à lui : "Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de coeur ; et vous trouverez du repos pour vos âmes" (Mat 11.29).
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